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 Journal de Jazz

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Jay88

Jay88


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MessageSujet: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeVen 18 Mar - 9:05

La rentrée est passée au collège Renée Barjavel d'Auroreville.
Je suis en 6ème. Enfin, j'ai quitté l'école des nabots et j'arrive dans la cours des grands.
Déception pour moi, je ne suis que dans le bâtiment des 6ème et des 5ème...
Toujours entouré de nains... Fais chier !

Heureusement, Mme Dalgo; elle m'autorise à l'appeler Annie depuis longtemps; est aussi au collège et je vais la voir régulièrement. Elle sait que c'est difficile pour moi à la maison depuis que papa n'a plus de boulot et s'est mis à picoler. C'est elle la seule personne au courant que mes bleus ne viennent pas tous des bagarres que je provoque.

Bon, j'aurais peut-être pas du exploser la tronche de Gérald le jour de la rentrée... Son frère et ses copains me trouvent régulièrement depuis pour me bastonner. Heureusement, j'ai toujours ma batte qui n'est pas loin. Ça suffit souvent à les faire fuir.

Au collège il y a des 4ème qui ont l'air cool ! Laul a trop la classe, il joue de la gratte super bien. J'aime bien aller écouter ses répèt' en restant devant son garage.
Il traîne souvent avec Tibato, moi j'lapelle « slip » parce qu'il est quand même un peu barré... Il fait des expériences tout le temps. Il dit des trucs bizarres et il est toujours en train de récupérer du matos pour construire des trucs qui servent à rien. J'ai essayé de lui demander de me faire une batte télescopique mais je crois qu'il a cru que je déconnais...
Je comprends pas pourquoi ils traînent avec Bill. C'est un péquenot ! Heureusement qu'il est un peu balèze parce que le pauvre, il a que ça pour lui. Il vit dans une ferme et son meilleur pote c'est l'autruche de son voisin... C'est n'imp' !
De temps en temps, y a James qui vient discuter avec eux... J'le connais pas bien. Mais pas sûr qu'eux le connaissent si bien que ça aussi. Il est souvent absent, j'sais pas pourquoi. Bref, les prochaines fois où j'le vois, j'essayerai de causer avec lui.

Vendredi 28 Octobre :

Ce soir, il s'est passé un truc bizarre.
J'allais rentrer en vélo pour taper un foot à côté de la maison avec Kévin comme d'hab', mais Bobby, ce connard, est encore venu l'emmerder à lui piquer son ballon et à vouloir lui péter la gueule.
Les copains sont là, ils sortent à la même heure que moi aujourd'hui.
Je commence à avancer pour aller défendre Kévin mais il se retrouve dans le noir. Je ne vois rien, les lumières clignotent, mais j'entends un bruit sourd et des cris. Kévin ressort de la pénombre en criant et il baragouine n'importe quoi. J'ui mets une baffe pour qu'il se calme, mais ça marche pas. Laul essaie de lui parler et finalement on arrive à comprendre deux trois trucs... « Bobby... mort... » Mais il n'arrive pas à tirer grand chose de ça.
Déjà je vois Slip et Bill qui foncent dans le noir... Ils sont cons à se barrer sans lumière. Ils vont rien voir...
Je m'amène avec mon vélo et Laul me suit. Je démarre le phare pour y voir quelque chose. Slip, comme d'hab', est plus intéressé par les objets que par les gens... Il est parti voir pourquoi le lampadaire clignotait... Quand j'disais qu'il était bizarre...

Avec Bill, on avance en éclairant dans le noir et on finit par trouver Bobby. Ce con s'est cassé la gueule sur le talus. Je pense « Bien fait pour sa gueule ! » mais on voit du sang en dessous de lui et il ne bouge pas. Il y a vraiment beaucoup de sang... Bill part en courant et nous crie qu'il va chercher l'infirmière. Moi, j'pense qu's'est une chochotte et qu'il a eu les boules...

On a à peine le temps de voir qu'il y a vraiment, vraiment beaucoup de sang et que la bordure du trottoir est même cassée et une espèce de crevasse en travers  que le principal et des profs arrivent avec l'infirmière.
Ils nous demandent de partir mais Laul discute avec le prof de musique et finit par rester avec en disant qu'il avait tout vu... Sans doute qu'il avait une idée derrière la tête parce qu'il n'en a pas vu plus que nous.

Avec Slip et Bill, on contourne un peu et on va se planter sur le talus en contre haut afin de voir ce qu'il se passe. Le Dirlo file à la cabine téléphonique et a l'air effrayé.
Pas longtemps après, des bagnoles de gendarmes arrivent. La cavalerie débarque. Des vrais cow-boys... Ils mettent des poteaux avec de la rubalise comme dans les films.
Bobby est bien mort... Il est transporté dans un sac dans une camionnette et ils mettent plein de sable sur le sang qui avait coulé.
Avant de partir, les keufs vont voir Laul et ont l'air de lui poser plein de questions. Il a l'air de parler aussi, mais de là où on est, on n'entend rien. Bordel, il ne pouvait pas bricoler un amplificateur notre Géo-trouvetout !
Laul repart dans la bagnole du flic.
Avant de nous séparer, j'dis aux autres que j'partirai un peu plus tôt demain et que j'irai voir Laul pour qu'il nous raconte ce qu'il a appris et qu'on se retrouve sur le parking à 7h30 pour voir si on trouve ce qu'il s'est passé. Là, on ne voit rien.
On se sépare.

Elles promettent d'être bien bizarres ces vacances qui arrivent.

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Jay88

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MessageSujet: Journal de Jazz 24 mars 2022   Journal de Jazz Icon_minitimeVen 25 Mar - 16:32

Samedi 29 Octobre

6h45. Je me lève. Comme d'habitude, mon père dort, un post-it est posé sur la table avec les recommandations de maman qui est déjà partie au boulot : « Aère ta chambre, fais ton lit, n'oublie pas de te brosser les dents... Bisous, ta maman qui t'aime. ». Bref, le bla-bla habituel.

C'est pas le tout, je fonce à vélo retrouver Laul pour qu'il vienne avec nous regarder sur le parking. Hier soir, on ne voyait plus rien.

Arrivé chez lui ( Elle est quand même classe sa baraque... ça pue le pognon par ici... ), il sort rapidement et on part pour le collège. En route, il me raconte que les profs lui ont dit qu'un jeune a été retrouvé mort la veille : Stéphane. Il avait aussi des blessures qui ressemblaient à des lacérations. Il me dit aussi que les gendarmes vont le convoquer pour l'interroger... Il n'a pas l'air plus stressé que ça.

Le temps passe vite en pédalant. Arrivés au collège, on se retrouve avec Slip et Bill sur le parking. Discrètement, on passe les barrières laissées par Cruchot et on file retrouver l'endroit où était Bobby.
Pas de bol, le vent a soufflé toute la nuit et les feuilles mortes recouvrent le sol. Slip s'éloigne et va tout seul chercher la bordure cassée en écartant les feuilles... Il a vraiment un côté autiste... Il peut pas rester avec nous ?
Avec Bill et Laul, on cherche dans le talus, là où ne voyait pas hier soir.
Tibato a plus de bol que nous, il retrouve direct la crevasse et même du sang au fond... Il nous explique rapidement qu'il y a en fait 3 « griffures », et que, ce qui a fait ça, a plutôt des griffes bien costauds.
Dans le talus, on a un peu moins de chance, on trouve que dalle... Laul a l'air de sortir un truc des feuilles.

On a pas vraiment le temps de regarder davantage que la camionnette de Cruchot arrive. Tibato repart direct vers le collège comme si de rien était et Laul redescend le talus pour repartir lui aussi vers l'entrée.
Avec Bill, on grimpe en haut du talus. On veut voir ce que cherchent les gendarmes. Oups, ils arrêtent Laul qui sortait de la zone encadrée par les barrières. Ça ne dure pas longtemps, on n'entends pas ce qu'ils se disent mais ils le laissent repartir ver le collège même s'ils n'ont pas l'air vraiment contents.
On entend la sonnerie du collège, on va se faire gauler c'est sûr... Mais bon, maintenant qu'on est en retard, autant que ça serve. On observe ce qu'il se passe avec attention. Cruchot et sa collègue vont voir directement vers le trottoir cassé. Ils galèrent avec toutes les feuilles mortes mais on leur a quand même mâché le travail. Au bout d'un quart d'heure, ils commencent à monter le talus. Discrètement, on file par le sous-bois avec Bill. Il est vraiment naze Cruchot... Il a rien vu !

Bon, avec le Sur-Gé, M. Rouet, c'est pas la même, il faut balancer une excuse bien pourrie pour avoir un billet de retard... Mais ça passe.

On repart chacun de notre côté.

À la récré, on se retrouve dans la cour. Laul n'est pas là. Bill et Tibato me disent qu'il a été appelé par le père Rouet.
Deux minutes plus tard, Laul revient accompagné de M. Rouet qui vient chercher William... William ??? Sérieux ??? Moi je croyais vraiment qu'il s'appelait Bill... C'est quoi la logique dans tout ça ? Les autres me disent que je suis con et que tout le monde l'appelle Bill depuis des plombes.
Je ferme ma gueule. N'empêche, William, c'est vraiment un prénom de bouseux, je comprends qu'on l'appelle Bill. Je pense que des fois, je l'appellerais William juste pour le faire chier...
Mais bon, Laul nous raconte rapidement que le Sur-Gé l'a amené voir Mme Dalgo, la psy du collège. Dans le bureau, il y avait aussi M. Mosson, le principal, le lieutenant Judasco ( mais tout le monde l'appelle Cruchot tellement on le trouve naze ) et sa collègue. Ils voulaient savoir s'il n'était pas traumatisé par ce qu'il avait vu hier : C'est quand même pas tous les jours qu'il y a un mort sur le parking du collège. Mais ils voulaient aussi savoir ce qu'il avait vu.

Bill, à non, William, revient et me glisse à l'oreille discrètement « On a fait une course à vélo et on est tombé. » Je comprends direct qu'il a dû être emmerdé avec notre excuse bidon de ce matin. Il faut dire qu'on était quand même plein de feuilles...

Cette fois, c'est Tibato qui va avec le père Rouet.

La récré est terminée et on se dit avant de partir qu'on s'attend à la sortie à midi.
Pendant le cours, M. Rouet vient me chercher.
C'est comme a dit Laul, ils sont tout là, Mosson, Cruchot et sa collègue et Mme Dalgo. Je lui lance un « Salut Annie ». Elle a toujours été sympa avec moi, du coup je l'aime bien. À chaque fois, on discute de tout et de rien dans son bureau. Elle m'aide à oublier toutes les merdes qui m'arrivent. Et là ça ne déroge pas à la règle. Mais bon, Cruchot me pose plein de questions après sur ce que j'ai vu la veille. Moi, une tombe. J'dis rien. Je lâche qu'on a vu que le trottoir était cassé à cet endroit mais il me répond du tac-o-tac que ça n'est pas forcément arrivé ce soir là. Moi je l'sais c'est arrivé ce soir là, il y avait même du sang au fond, mais j'dis rien, je ferme ma gueule. De toute façon l'aime pas Cruchot.
Je repars en cours après avoir dit au revoir à Annie qui me dit de ne pas hésiter si j'ai un souci.

Yes ! Midi, c'est les vacances !
On se retrouve avec les copains, ça me fait bizarre de dire les copains parce que jusqu'à hier, je les connaissais pas beaucoup. Mais là, j'ai l'impression qu'on va pas mal traîner ensemble. Moi, ça m'va.

Laul sort ce qu'il a trouvé dans le talus :
Une plume. La vache, elle est balèze, j'en ai jamais vu des comme ça. Bon moi, c'est normal, les piafs c'est pas vraiment mon rayon. Mais Bill, qui lui, est un bouseux qui vit avec des bestiaux, a l'air aussi impressionné. Elle fait près de 40cm de long, elle est très foncée, irisée de bleu et avec le bout tout blanc.
Il dit qu'il va chercher de quel piaf elle peut venir, peut-être à la bibliothèque.
Tibato dit qu'il va allé au café de sa mère pour chercher des infos dans les journaux qu'elle garde pour les clients.
Laul doit prendre du temps pour appeler Mike, afin de régler des trucs pour le concert de ce soir et qu'il en profitera pour lui demander s'il sait des trucs sur les morts des derniers jours.
Moi j'irai sans doute voir Kévin parce qu'il n'est pas venu au collège ce matin.
On a tous des trucs à faire, on propose de se retrouver dans un squatt. Bill propose d'aller à la gare désaffectée au nord.

Après avoir mangé rapidement avec mon père, je file sonner chez Kévin. Ses parents sont un peu réticents à me faire entrer et à laisser sortir mon copain. Finalement, j'arrive à aller discuter avec lui. Il n'a vraiment pas de tête. Il est encore effrayé de la veille. Il me parle d'un monstre, près de deux fois plus grand que lui, descendu du ciel et reparti aussitôt. Il pense que ça aurait très bien pu être lui. Il me dit que ce n'est pas le premier. Il a entendu ses parents discuter du gamin disparu deux jours plus tôt. Il a finalement été retrouvé mort avec lui aussi des lacérations. Il a presque les larmes aux yeux en me parlant. Ses parents ont l'air de dire que les gendarmes ont des infos qu'ils cachent aux habitants. Il paraît même que des chasseurs ont repéré des traces étranges dans les montagnes près de l'étang de la Comtesse.

Tout ça ne m'a pas vraiment remonté le moral et je me dit que Kévin ne mettra pas un pied dehors de si tôt...
Il est presque 15h. Je monte sur mon vélo et je file à la gare désaffectée. Notre futur « repère » j'ai l'impression. Il va falloir aménager tout ça mais c'est plutôt cool !

On discute et chacun explique ce qu'il a trouvé.
Slip, en traînant au café de sa mère a lu 3 articles sur Stéphane qui avait disparu puis a été retrouvé mort et sur la mort de Bobby... Bref, rien qu'on ne savait déjà.
Laul n'a aucune info à nous passer. Forcément, il croyait quoi ? Que son disquaire c'était sherlock Holmes ?
Bill, lui, à la bibliothèque, a trouvé de quoi pouvait provenir la plume. Il nous sort un grand bouquin et nous montre l'image d'un archéoptéryx, une espèce de gros oiseau préhistorique. Mais les plumes sont quand même beaucoup plus grandes !
Quand je leur raconte tout ce que j'ai appris par Kévin, ils se prosternent devant moi en me disant que je suis le meilleur et qu'ils ne méritent pas de me connaître... Comment ça j'en rajoute une peu ? Bon, peut être qu'ils sont juste content que j'ai réussi à trouver autant de choses. Mais moi ça me plaît de leur montrer que je peux être utile, même pour un 6ème !

On regarde un peu comment on va pouvoir aller à l'étang de la Comtesse. La marche nous prendrait environ 1h30 et on se dit qu'on aura besoin d'un peu de matos. C'est pas très prudent d'y aller tout de suite, surtout que Laul a un concert ce soir...
Du coup on ira demain et on pique-niquera sur place.
Laul en profite pour nous inviter à la boum. Trop cool !

Dimanche 30 Octobre

Maman râle. Forcément, j'avais oublié de lui dire que je partais toute la journée et que je mangeais dehors avec des copains.
Bon faudra que je lui rapporte une fleur de la forêt si j'en trouve encore histoire de faire passer la pilule.

10h, on démarre du repère pour aller vers l'étang. À vélo, on devrait y arriver rapidement mais c'était sans compter sur les premières neiges qui tombent.
Ça grimpe sec mais bon, on avance. On croise un 4x4... Pfff.... Des chasseurs... Ils commencent à nous engueuler et à nous dire de nous barrer parce qu'ils ont prévu de pico... de chasser dans les montagnes.
Nous, rien à foutre, on se dit qu'on est bien plus malin qu'un chasseur et directement, on contourne tout le groupe et on continue notre route jusqu'à l'étang. Bon on aura bien mis deux heures finalement.

On aperçoit l'étang. Bizarre, l'eau à l'air d'être rouge.
Slip, se barre tout seul ( j'ai envie de dire « Comme d'hab' » ) pour aller voir l'eau. Je le suis d'un peu plus loin. Il tombe en criant. Il a l'air d'avoir mal à la jambe. Il a été agrippé par une espèce de plante carnivore à moitié mécanique.
Il a l'air d'être blessé.
On retrouve les restes d'un lièvre ou d'un lapin à moitié bouffé par ces saloperies de plantes. En regardant bien, on aperçoit ces merdes lécher le sang qui a coulé de la plaie de Tibato. C'est dégueux ! J'en shoote une avec ma batte. Plouf ! Elle tombe dans la flotte.
Visiblement c'est bien le sang qui a rendu l'eau de l'étang toute rouge.

Laul cherche pendant qu'on soigne la plaie de Tibato et finit par apercevoir une cabane à environ 500 mètres de là où on est.
Il nous propose d'y aller pour manger. Bonne idée. Slip récupère délicatement une plante. Bordel, mais qu'est ce qu'il lui passe par la tête ? Ce truc essaie de le bouffer et lui il est tout délicat avec et il veut en planter dans son jardin... Des fois je l'comprends pas.

On arrive à la cabane assez rapidement. Visiblement c'est une cabane de chasse, il y a des caisses de bouteilles vides. Devant la cabane, on peut voir une grande carte. On repère l'endroit où on est, des chemins de randonnée et des points rouges où il n'y a aucune annotation...
Il y en a un pas trop loin, on va aller y faire un tour après avoir mangé.

Il était pas loin sur la carte ce « point rouge », mais ça grimpe et avec la neige on galère un peu. Je commence à être un peu crevé... Merci Bill !!!
Arrivé à l'endroit inscrit sur la carte, une grande clairière s'ouvre devant nous. Je dirait qu'elle fait presque 500m de long ! Pas très loin, presqu'au milieu, on voit un truc bizarre. On s'en approche. Au sol, il y a une espèce de vitre. Pas une espèce en fait, c'est bien une vitre. La neige ne tient pas dessus. Elle fond. En posant la main dessus, c'est tiède, comme si ce qu'il y avait de l'autre côté était chauffé. Juste à côté, une sorte de console avec quelques touches. Un digicode ? Ça a l'air d'être là depuis au moins 10 ans de truc. Ça n'a plus vraiment l'air de fonctionner. Du moins, ça n'est pas vraiment entretenu. Au travers de la vitre on aperçoit une espèce de sphère. En enlevant encore un peu la neige, c'est finalement plus grand que ça n'y paraît, il y a un cerclage en métal avec des lumières autour de la vitre. On dirait qu'il peut s'ouvrir. On repère également le symbole du Loop dessus.
Immédiatement, on fait le parallèle avec l'archéoptéryx et on se dit que c'est peut-être un œuf à  l'intérieur. On va voir le « truc bizarre » qui était un peu plus loin. En avançant, on se rend compte qu'il y a des vitres et des consoles un peu partout dans la clairière et que ce truc bizarre c'est en fait un système vitré qui est ouvert. À l'intérieur, on voit les restes d'une sphère. C'est bien les restes d'une coquille d'œuf. On récupère rapidement les restes de la coquille. La vache, il était énorme ! Près de 50 cm de haut !

C'est pas tout ça mais il est presque 3h de l'après midi et il va falloir qu'on marche un peu pour rentrer avant la nuit...
On décide donc de repartir. Avant, on repasse par la cabane et on démonte rapidement le panneau où il y avait la carte. On la roule et on la met dans un sac. On sait jamais, on ira peut-être faire un tour pour voir un autre « point rouge » un de ces quatre.

On descend rapidement à vélo. Ça va mieux dans ce sens. Il fait presque nuit lorsqu'on arrive à notre repère. On pose nos affaires et on se sépare pour chacun repartir chez soi.

Ça c'est des vacances qui commencent bien !

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wardus




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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeMer 6 Avr - 22:01

Zut Jazz a perdu son journal de bord devant chez moi, tant pis je vais écrire rapidement nos 2 journées

Inspiré par ces aventures, j'écris une nouvelle chanson dans la nuit pour dénoncer les actions dangereuses des adultes.
Laul a écrit:
Les adultes sont vraiment trop cons!!
Ils ont créé des putains de dinosaures
Des archéoptéryx nous attaquent
Et ça ne les dérange même pas

Ils sont vraiment trop cons ohohohoh
Ils sont vraiment trop cons !!

2 copains ont déjà été massacrés
Au bout de combien ils bougeront
Pour arrêter leur putain d'expérience
On a pas envie de se faire bouffer !!


Ils sont vraiment trop cons ohohohoh
Ils sont vraiment trop cons !!

La jeunesse d'Auroreville doit se révolter
Pour se faire écouter de leurs parents
Pour faire tomber ce putain de loop
On veut pas être des sujets d'expérience

Ils sont vraiment trop cons ohohohoh
Ils sont vraiment trop cons !!

J’appelle mes potes de Burning Heads, ils sont super motivés et on l'enregistre dans la matinée, pendant ce temps les copains aménagent notre squat, ils sont cools.

Bill rend visite au véto avec son oncle pour un problème avec une autruche, ils viennent rapidement à parler de l’archéoptéryx et lui donne un bon tuyau, il connait un des membres de l'équipe qui bossait sur ce projet au Loop, il a pu toute sa tête apparemment mais ça va nous servir.

Matt m'annonce que son oncle qui travaille à la radio local va essayer de passer notre nouvelle chanson ce soir, j'ai hâte, elle va envoyer du lourd !

Je passe au squat en début d'aprem, les copains ont bien bossé. On entend des klaxons, on voit les chasseurs fanfaronner avec un loup mort attaché au capot de leur  4x4. Ils racontent à tout le monde qu'ils ont buté le monstre qui tuait les enfants. Ils sont vraiment trop cons !!

On les suit et on arrive devant leur chalet et la on voit une plume d'archéoptéryx  sur le chapeau d'un des chasseurs. Il est plus tout jeune! On arrive à rentrer et à parler avec lui. Il nous raconte qu'il l'a trouvé il y a une 10aine d'années prêt de l'étang de arbres jumeaux. Ça nous dit vaguement qqch.  
On se mettre dehors par les autres chasseurs.

On va voir Charles Darkel, l'ancien du LOOP qui a bossé sur le projet dinosaure. On y va cash, et la il se met à se sentir mal. Merde, on a peut être été trop direct.

Il nous raconte rapidement l'histoire des dinosaures qui aurait une capacité intéressante dans la détection d'une maladie incurable. Certes, il arrache le cœur de la personne si elle est malade mais c'était prometteur d'après lui. Ils sont vraiment trop cons !!

Après quelques minutes, il nous montre une gigantesque grotte en dessous d'un petit hangar et nous explique qu'il avait récupéré un des dinosaures pour continuer les expériences une fois qu'il est parti du loop. Sauf qu'il a réussi à s'enfuir il y a quelques jours. Il nous apprend également que les crabes sont sa nourriture préférée

Le soir, je suis devant la radio pour écouter mon tube, les premières notes retentissent à la radio. Je suis super fier ! Mais il est vite coupé pour un flash info annonçant la mort d'un chasseur, a priori avec les mêmes blessures que les 2 enfants. Bien fait, ils avaient pas qu'a fanfaronner

Le lendemain, on décide d'aller voir à l'étang et on s'organise. On va voir le véto pour lui raconter nos intentions et lui demander des somnifères mais il est pas chaud et nous déconseille fortement l'endroit.
Par grave, on revient en ville et on achète plusieurs crabes et je décide d'aller voler des somnifères à la pharmacie. Tibato les récupère.
C'est mon premier vol , je suis bien contrarié du coup. On achète des sandwichs et on va les manger chez mon pote Joe le disquaire. Je lui raconte un peu et la il commence à me prendre un idiot et me réclame les médocs. Je jour encore plus l'idiot et lui tend la tisane "Dors bien" que les copains ont achetés. Il est DUBITATIF et m'oblige à lui promettre de lui les ramener. J'acquiesce mais bon c'est pas top top top, j'ai l'impression que ma côte a baissé, il va falloir que je lui prenne plein de disque pour me racheter !

Il est trop tard pour partir à l'étang, du coup on décide de repartir au squat pour aménager un peu et préparer les crabes pour demain avec les somnifères
On rentre dormir.
Le lendemain, je pique la dernière plaquette des médocs de mes parents. J'espère que ça fera la farce pour Joe.
On se prépare à partir pour l'étang !

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Jay88

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MessageSujet: Journal de Jazz 7 avril 2022   Journal de Jazz Icon_minitimeMar 12 Avr - 21:00

Mercredi 2 Novembre

Putain de bordel de merde, ça a été long, mais j'ai enfin remis la main sur mon journal. J'ai rien dit aux autres pour mon père. Mais là, la crise a dû être balèze. Tout était retourné à la maison...
J'ai tout remis en ordre avec maman avant de partir retrouver les copains.

Il est presque 9h30 et on va partir pour l'arbre à deux troncs.
Tibato se plaint de sa jambe. Ça le gratte. Pfff... Il se plaint vraiment pour que dalle... Trois boutons et il fait sa fillette.

Après avoir bien regardé la carte, on retrouve le nom du lac près de l'arbre à deux troncs : « La mer de pierre ». On enfourche nos vélos et c'est parti !
La neige nous arrête assez tôt et on est obligés de continuer à pied.
Vers 12h30 on pense être presque arrivés.
Effectivement quelques minutes plus tard, on voit le lac. Il est plus grand que ce qu'on imaginait. Si on devait en faire le tour, on en aurait sans doute jusqu'à la nuit. On aperçoit un panneau pas trop loin et un petit bâtiment à 500 mètres. On se dit que ça peut être sympa pour pique-niquer.

De loin on voit un truc qui vole au dessus du lac. En observant avec les jumelles de Laul, on pense que c'est un véhicule magnétrine tout bleu. Peut-être de la gendarmerie.
Après ça, on se décide à aller voir le panneau qu'on avait aperçu en arrivant.
Sans surprise, c'est un truc touristique pour indiquer des balades. Bill a l'air concentré devant le panneau mais n'a pas l'air d'y piper grand chose. Heureusement, Tibato réussit à lui expliquer à quoi correspondent les différents trait et à lui montrer le chemin pour aller vers l'arbre à deux troncs.

Par terre, il y a un autre panneau que Bill relève en partie. Et là rebelote, il essaie de le lire, mais visiblement c'est pas son fort. Je commence à me demander s'il sait lire... Personne ne parle jamais de comment il bosse au bahut. Si ça se trouve, c'est un attardé en fait ? Bon c'est déjà un péquenaud, ça va bien avec...
Mais bon ça n'a l'air de choquer que moi. Tibato regarde après Bill, comme s'il savait qu'il n'arriverait pas à le lire...
Le panneau est en mauvais état mais il déchiffre les mots « préhistorique » et « archéologie »... On devine le plan de vestiges archéologiques.
Laul se souvient alors que près d'un site archéologique, il y a un lac où un train s'est planté verticalement dedans. Si ça se trouve c'est dans ce lac ?

On se décide à aller vers le bâtiment. On se dit qu'il est peut-être habité donc on décide de faire le moins de bruit possible...
Mais c'était sans compter sur Slip qui s'étale comme une merde en faisant un bordel des enfers... Bravo l'arrivée discrète.

On entre. C'est vraiment crade ! Sans doute une maison de pêcheur, il y a une porte de l'autre côté de la pièce qui donne sur un petit ponton.

Pendant qu'on mange, Bill observe le lac avec les jumelles. Il nous confirme que le véhicule bleu est bien un véhicule de la gendarmerie. Qu'est-ce qu'il fout là Cruchot ? Il aperçoit aussi des espèces de boules blanches qui dépassent de la surface du lac. Mais il est incapable de nous dire ce que ça peut être.

Bill a vraiment la bougeotte aujourd'hui, je pense qu'il veut faire oublier qu'il ne sait sans doute pas lire... Il mange à fond la caisse et va voir les espèces de tout petits bâtiment ronds qui sont juste à côté de la cabane de pêcheur. On file voir avec lui.
Il y a un trou où on peut passer la tête. Je m'approche mais je me recule aussitôt car j'entends un bruit à l'intérieur.
Je m'approche plus doucement et c'est en fait un bruit de vent. Avec la lampe j'éclaire l'intérieur et je peut lire... ( Dans ma tête je me dis que je vais appeler Bill pour déchiffrer ça me ferait rigoler un peu... ) Bref, je lire le nombre 404.

Slip comme d'hab' file tout seul voir la deuxième sphère et il nous dit qu'il y entend un bruit de mer agitée et qu'il peut lire le numéro 414.

Laul, qui était resté un peu en arrière nous dit qu'il a entendu parler des « coquillards » et que ça pourrait être ces drôles de trucs.

Slip essaie de pousser le coquillard... On l'entend forcer comme un malade. Mais rien ne bouge... Il se prenait pour Superman ou quoi ? Dans pas longtemps, il va essayer d'agrandir le trou en essayant de faire sortir des rayons lasers de ses yeux...

Bon on arrête de glander et on commence à aller dans la direction de la chaume où se trouve l'arbre à deux troncs. C'est assez rapide, on y arrive un peu avant 15h.
Sur la petite colline, on voit l'arbre à deux troncs. C'est clair que j'avais jamais vu un truc comme ça. Ce sont deux troncs qui poussent et qui se rejoignent en un seul à environ un mètre du sol.

Pendant qu'on regarde ça, Laul entend des bruit d'oiseau. Avec ses jumelles, il arrive à les observer. Il y en a trois. Il ont l'air de tourner  autour d'un petit bois. On note l'endroit sur notre carte mais on décide de repartir parce qu'on va déjà rentrer tard vu le chemin qu'il nous reste à faire...

On fonce, on court quasiment tout le temps. Slip et Bill sont un peu à la traîne, ils ont l'air complètement crevés. Je pense que Slip à dû dépenser toute son énergie en essayant de pousser le coquillard et que Bill est tanné d'avoir essayé de lire.
On arrive enfin en ville.

Tibato nous dit qu'il va retourner voir à Electronova pour voir si le gérant  a pu tirer quelque chose de la plante mécanique. Laul quand à lui repart voir son disquaire. C'est vrai qu'il l'avait bien mené en bateau son disquaire avec sa boîte de médocs... Il avait l'air tracassé toute la journée. Il nous dit qu'il a retrouvé une boîte chez ses parents et qu'il va aller la lui ramener. Il nous la montre... la boîte. Et dedans il n'y a que 10 médocs. Dans mon souvenir, il y en avait 20 dans la boîte pleine. D'ailleurs, c'est écrit en gros « 20 comprimés » sur la boîte... J'espère pour Laul que Mike n'ouvrira pas la boîte... Il risque de s'en prendre plein la gueule. Et après Laul il va faire la tronche toute la journée.

On se sépare en se disant qu'on se retrouve un peu après 7h au repaire pour partir jusqu'au petit bois parce que le chemin est bien long.

Jeudi 3 novembre

Il est 7h15. Visiblement tout le monde a été actif ce matin... Tout le monde sauf moi...
Hier soir, Tibato a appris qu'il était allergique au nickel et que c'est ça qui provoquait ses démangeaisons. Heureusement, ses parents avaient des anti-histaminiques dans un placard. Du coup, il va mieux.
Laul, lui a l'air encore plus ronchonchon que la veille... Visiblement Mike, son disquaire, a bien compris qu'il le prenait pour un con et du coup il n'a plus confiance en lui. Vu l’estime que Laul a pour ce type, je comprends qu'il fasse la gueule aujourd'hui. Mais bon, visiblement on va devoir le supporter à faire la tronche toute la journée... Vivement qu'il se réconcilie parce que ça va être long. Bon avant de se terrer dans un silence de mort il arrive à nous dire qu'il est aller voir si Darfelle était là mais que personne ne lui a répondu.

Bill, ce matin, est parti tôt voir son voisin l'éleveur de poules... ou d'autruche... je sais plus. Visiblement, c'était une bonne idée, il lui a prêté des raquettes à neige qu'il n'utilisait plus. Il va pouvoir marcher sans se crevé dans la neige. Trop bien !

On se dépêche de se mettre en route et cette fois-ci, on arrive vers midi à l'arbre à deux troncs. On y mange et on observe en même temps le bal des trois oiseaux qui tournent autour du petit bois.
On se laisse guider par Tibato, hier il a plutôt bien trouver les chemins.
Mais là... Comment dire... On ne l'a pas déjà vu cet arbre ??
J'ai l'impression qu'il nous a fait tourner en rond pendant une plombe au lieu de nous faire aller tout droit.

Au bout d'un bon moment, on arrive à une belle roche et lorsqu'on se place sur la partie dégagée, trois petits archéoptéryx s'envolent. Laul s'empresse de les prendre en photo en disant qu'avec ça, Mike serait obligé de le croire. J'ai l'impression que c'est la première fois qu'il ouvrait la bouche de toute la journée... Content de savoir qu'il va peut-être arrêter de faire la tronche en marmonnant qu'il y avait 20 médocs dans cette putain de boîte...

On s'avance vers l'endroit d'où ils ont décollé et on aperçoit l'entrée d'une grotte. On entend des cris d'animaux qui en proviennent. Avec Bill, on s'avance vers l'entrée. Je regarde vers Slip qui à l'air de faire du macramé avec sa corde... Je ne sais pas ce qu'il fout mais bon, je ne crois pas que lui le sache non plus...

On voit l'archéoptéryx géant à l'entrée de la grotte. Il a l'air mal en point. Il agite ses ailes et gémit. Si on peut appeler ça un gémissement.
Bill lui tend un crabe et manque se faire bouffer la main. Visiblement, il a faim le bestiaud. Je lui en lance un second, mais il n'a pas l'air d'avoir assez de force pour le manger.

Je me retourne et je vois Laul en train de bricoler les crabes en bougonnant. Je comprends un truc du genre : « Si l'autre connard de piaf n'en veut pas j'vais récupérer les médocs pour les rendre à Mike... »

En un qui fait du macramé avec une corde plutôt que de venir nous filer un coup de main et l'autre qui devient monomaniaque pour 10 médocs ; on en fait une bonne équipe de bras cassés.

Ouf... Tibato laisse les nœuds de sa corde pour entrer dans la grotte avec moi, on arrive à se fuafiler jusqu'à ce qui semble être un nid.
Je récupère quelques plumes mais je crois qu'on a fini pour aujourd'hui avec le gros piaf.

On redescend finalement et on file voir Darfell pour lui dire qu'on a retrouvé Myosotis, son archéoptéryx géant.
En arrivant devant, Laul remarque que la camionnette qu'il avait aperçu devant chez Darfell est toujours là et que les types sont encore en train de changer une ampoule de lampadaire.
Il leur balance un « Putain vous êtes pas discret les gars ! »... Non mais franchement on aurait tous préféré qu'il continue à faire la gueule pour le coup...
Tibato arrive à voir que le logo de la camionnette vient d'être peint et qu'ils ont des jumelles. Il nous fait signe de ne pas nous arrêter chez Darfell.
On choisit de passer par l'arbre où s'était vautré lamentablement Tibato la dernière fois. Mais bon, cette fois, c'est moi qui grimpe. En deux deux j'y suis et je leur envoie la corde pour qu'ils passent à leur tour.
On arrive enfin à voir Darfell et on lui balance tout, les types qui l'espionnent, l'archéoptéryx retrouvé mal en point....
Il nous explique que c'est sans doute parce qu'il n'a pas eu son traitement depuis quelques jours qu'il est si faible. Il le lui faut d'urgence.
On arrive alors à le convaincre d'appeler Moro, le vétérinaire, pour qu'on aille ensemble rechercher Myosotys et lui donner son traitement. Bill chope le téléphone et l'appelle. Je n'ai pas tout entendu mais il a du être convainquant parce que Moro accepte de nous aider et nous dit même qu'on utilisera sont véhicule magnétrine.
On se donne alors rendez-vous le lendemain matin pour y aller.

On se sépare et Laul nous lance qu'il retourne voir Mike pour lui rendre les médocs.

Vendredi 4 Novembre

On se retourve tous au repaire pour partir chez Moro.
Laul n'a plus l'air de faire la gueule. Il n'a rien besoin de dire, on se doute que son embrouille avec Mike doit s'être arrangée.

Lorsque Moro arrive avec Darfell, on part tous dans le véhicule magnétrine. Trop cool ! C'est la première fois que je monte dans un de ces trucs. Mais bon, je garde de la contenance et je fais le gars blasé qui a déjà voyagé dans un truc comme ça plein de fois.

Lorsqu'on arrive, Myosotis est dans le même état que la veille. Mais lorsque Darfell s'en approche, il  l'air heureux de le voir.
Le vieux prépare tout de suite l'injection pour lui administrer le traitement. Pendant ce temps, on se débrouille pour guider les manœuvres et placer la cage juste devant lui. Darfelle lui injecte le traitement et va chercher quelques crabes qui trainent encore près de l'entrée de la grotte. Il arrive à guider Myosotis dansla cage en l'attirant avec les crabe.
C'est qu'il est encore malin à son âge le vieux.

La cage se referme sur l'archéoptéryx et ensemble, Moro est Darfell décident de le ramener au refuge plutôt que chez Darfell.
En rentrant, on en profite pour leur poser des questions sur les boules blanches aperçues dans le lac. Ils nous apprennent que ce sont simplement des capteurs.
On apprends aussi que le véhicule de la gendarmerie est là depuis un moment. Le moment où il est tombé en panne lors d'un transfert de prisonnier.

C'est trop court, on commence à peine à apprendre des trucs sympas que le véhicule se pose au refuge...

On se sépare et on se dit qu'on se retrouve demain au repaire avec les copains.
N'empêche après cette super aventure, moi, je me vachement grandi ! Je me dis que ce sont des super vacances !

Samedi 5 Novembre

Le matin, au repaire, avec les copains... Les copains... ça fait bizarre de dire ça, il y a 10 jours on se parlait à peine et là on se voit tous les jours.
C'est trop cool de traîner avec les grands !

Bref, ce matin, on observe la carte qu'on avait récupéré. Celle avec les points rouges.
J'ai l'impression qu'on a déjà oublié l'archéoptéryx et qu'on file droit vers une nouvelle découverte !

On repère un point au nord de la ville.
On enfourche tous nos vélos et on file jusqu'à ce quartier.

C'est un quartier plutôt pauvre. Les maisons sont encore plus délabrées que les pires que là où j'habite. On se souvient avoir entendu parler qu'il y avait du trafic dans ce quartier et que deux frangins y avaient disparu. Bref, on fait gaffe...

On repère une baraque faite de conteneurs, de tôles... Mais ce qui attire notre regard c'est la grande antenne orange et blanche avec le logo du Loop... On se doute que c'est cet endroit qu'indique le point sur la carte.
Sur la boîte aux lettre, on lit le nom « Marcel Massy », on y voit aussi une tête de mort dessinée. Il doit pas être aimé le bonhomme... ou alors, il est mort...

Après un moment à hésiter au niveau du trottoir, on voir un vieux qui sort de la baraque. Il doit avoir au moins soixante-dix piges et il trimbale un cabas à roulette. Il va sûrement faire ses courses.

Bill s'empresse de nous dire qu'il fait le guet. Moi j'ai l'impression qu'il a les pétoches d'aller voir...
Laul lui laisse son vélo alors qu'avec Tibato on emporte les nôtres.
En s'approchant, on en tend des aboiements. On s'aperçoit assez vite que c'est un automate. On le contourne, on cache nos vélos et on entre dans la maison vide.

Pour être vide, elle l'est... Il n'y a quasiment rien à l'intérieur.
On est dans une grande pièce où il y a des escaliers qui montent et une porte que j'ouvre et où on voit des escalier qui descendent...

Rapidement, j'allume la lumière et je commence à descendre avec Laul. Tibato lui reste à l'entrée au cas où quelqu'un revienne.
J'ai l'impression de descendre super longtemps... Je me demande si ces escaliers vont s'arrêter un jour.
Finalement, on arrive dans une grande pièce. Elle même l'air plus grande que la maison. Dans cette pièce, il n'y a pas grand chose. Il y a une porte fermée au bout de la pièce et dans la pièce, il y a un canapé deux places, 3 distributeurs, un bocal rempli de pièce de 1 franc, un guéridon avec un portrait d'enfant et un téléphone. Le téléphone est bizarre, il n'a pas de cadran, il a juste un gros bouton rouge.
Je ne sais pas ce qu'il me prend, je décroche le téléphone et j'appuie.
Ça décroche assez vite. C'est une voix d'enfant, il me dit qu'il s'appelle Ricky et qu'il habite ici avec son père, le gardien. Je lui demande où il est. Il me dit qu'il est à la maison...Dans ma tête je me dis qu'on ne voit personne dans la maison. Je me demande où il peut être. Je lu demande s'il veut sortir faire un foot avec moi que je suis dans le quartier pour quelques temps. Il me répond qu'il devra voir si son père est d'accord parce qu'il n'aime pas trop qu'il sorte. Mais lui, il a l'air d'avoir carrément envie de sortir.
Pendant que je suis en train de téléphoner, je vois Laul qui pioche dans le bocal et qui se sert des distributeurs pour se prendre des bonbons et un coca... Il ne pense même pas à m'en prendre.
Après avoir salué Ricky en se disant que se serait bien de se voir pour jouer, je raccroche et on décide de remonter avant que le vieux ne rentre.

Va falloir que je raconte tout ça aux copains en rentrant au repaire.

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeVen 15 Avr - 21:32

C'est de nouveau Laul qui squatte le journal de Jazz !!

Lundi matin, on reprend les cours pour une petite semaine. C'est férié vendredi c'est cool. On pourra continuer nos aventures avec les copains !

à 10H, on voit Jazz qui arrive avec un courrier qu'il a reçu d'un autre Jason qui habite aux USA à coté du Loop de la bas

Citation :
Journal de Jazz Lettre

C'est cool, il a un correspondant. On l'aide à faire une réponse en Anglais. On raconte un peu notre première aventure et on lui demande si il a des infos sur les gardiens du Loop et si il a participé à des aventures avec ces copains.

Je me suis inscrit au club photo pour faire développer mes clichés. Je m'y rend donc mercredi après-midi. Le prof nous fait un petit cours d'une demi heure et je demande à une connaissance de me montrer comment on fait.

J'ai des photos plutôt réussies où on voit bien l'archéoptéryx donc c'est plutôt cool. Soudain, je reçois une putain de baffe de la part de Mélanie. Quelle mouche l'a piquée??
Je jette un coup d’œil sur la dernière photo et j'aperçois une paire de fesse... Merci les copains ...!!
On joint une des photos au courrier pour le correspondant de Jazz !

Je passe montrer les photos à Mick, mon pote disquaire mais ça ne l’impressionne pas. Il me déçoit de plus en plus !
Journal de Jazz 2fc7f60402_50080077_archeo

Vendredi 11, on se retrouve au repaire, on cherche le numéro du gardien dans le bottin, mais on ne trouve qu'un seul Massi, On essaye de le joindre, c'est chez un cousin éloigné mais quand on demande à parler à Ricky, on se fait raccrocher au nez.

On essaye l'approche frontal chez Marcel mais il sort rapidement une arme à feu. On traine pas dans le secteur ! On essaye de voir pour essayer de pirater son téléphone histoire de l'espionner. On s'aperçoit rapidement que le gardien n'a pas de ligne de téléphone branchée. Tibato est un peu trop motivé et part dans des expériences compliquées. On le laisse rapidement à ses affaires et on se concentre sur la carte aux points rouges.

Bill remarque alors un point qui a disparu sur la carte. On décide alors de partir pour se quartier.
On trouve une grande maison hautement clôturée avec un truc en arc de cercle de 30 m de long avec le logo du loop
Journal de Jazz TalesFTL9

Des gamins nous parlent d'une maison hantée. On a hâte de la visiter.
On croise également un véhicule de dépannage du loop. On est un peu surpris de croiser un véhicule un jour férié donc mes camarades décident de le suivre. Seul Jazz y arrive mais le technicien semble juste rentrer chez lui. Pendant ce temps, j'essaye de chercher l'endroit où il pouvait intervenir mais je n'ai rien trouvé.

Samedi matin, on retourne se planquer devant chez Massi, il part faire ses courses comme la dernière fois et on en profite pour retourner dans sa maison.
Tibato décide encore de se prendre pour Géo Trouvetou et veut bricoler l'arme de Massi, pas top top comme idée. On décide de le laisser et on monte voir l'étage. Il n'y a rien d'intéressant .
On retourne donc tout en bas et on reparle à Ricky, comme la dernière fois, on a un peu de mal à comprendre où il est réellement. Un monde parallèle ?
On trouve une photo d'un enfant (Richard Massi) avec une date en 51. Étrange!

On file à la mairie chercher dans les registres, on trouve un avis de décès. On apprend qu'il s'agit d'une disparition étant donné qu'il n'y a pas de médecin indiqué. De plus en plus étrange.

On essaye également à la médiathèque, on ne trouve pas grand chose de plus à part une interview de massi qui confirme nos trouvailles. Son fils a disparu un soir. Sa maison était alors une entrée du Loop qui était en travaux.

On a un peu de mal à comprendre comment on arrive à discuter avec un enfant disparu à travers d'un téléphone sans cadran. La nuit portera peut être conseil.

En repartant, on aperçoit une affiche qui semble intéressée fortement Bill. Le bibliothécaire nous parle d'un jeu "dungeons and dragons" et propose de nous initier lors des prochaines vacances ! Pourquoi pas ça peut être cool et me donner des idées de chansons épiques !
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En rentrant, on décide de faire un détour vers la maison hantée.
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Il s'agit d'une maison construite sur un terrain de 2000m², un gros blocs sur 3 niveaux. La porte d'entrée est condamnée. La boite aux lettres indique Mr Mandeur Alain & sa fille Stéphanie.

La végétation a envahi le terrain, pas facile d'atteindre l'arrière. On y trouve une barrière et 1 hangar.

On trouve un escalier qui descend vers une porte. On y va et on entre. Même pas peur !
Courant d'air, tas de pommes de terre et de bois moisis, humidité et de nombreux outils rouillés nous apprennent qu'il n'y a plus personne depuis un moment dans cette maison.
Au rez de chaussée, rien de spécial, un calendrier nous indique que la vie s'est arrêtée il y a 23 ans dans cette maison. Plusieurs traces de pied dans la poussière mais difficile à dater. Quelques traces de vandalisme et plusieurs photos
A l'étage, seul un coffre blindé attire notre attention. On essaye de l'ouvrir sans succès
Journal de Jazz Couple-finds-safe-in-backyard

On se tente une séance de spiritisme avec des lettres d'un scrabble. Tibato fait tout foirer en tentant de nous faire peur...

On décide de partir dormir et on se donne rdv demain matin au squat !

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeJeu 12 Mai - 16:58

Dimanche 13 Novembre

Il pleut...
9h, on se retrouve au repaire avec les copains... Fait chier, il pleut...
On décide quand même d'aller voir à la maison de Marcel, le père de Ricky.
On planque sous l'abri-bus histoire de voir s'il se barre et si  on va pouvoir reparler à Ricky.

Il ne sort pas, mais on voit une bagnole de gendarme tourner chez lui. Laul fonce voir ce qu'il s'y passe.

Peu de temps après, le gendarme s'en va.
Bref, du temps de perdu.

11h On est à nouveau au repaire et on ravive le feu pour se sécher.

Slip fait encore son autiste à suivre ses fils de téléphone...
Mais bon, il a l'air heureux. Il dit qu'il a trouvé une sorte de relais... L'important c'est qu'il ait l'air content.

Finalement, l'après-midi on change nos plans et on se barre vers la maison hantée repérée la semaine dernière.
Avec Laul, je force la porte du garage. Trop facile !
La vache, une bagnole neuve ! Une vieille bagnole, mais neuve. Je ne reconnais pas tout de suite le modèle mis en fouillant un peu on trouve que c'est une Peugeot 404. On trouve aussi un tas de papier, des pièces d'identité et un ticket sur lequel il y a un code : 56-98-4-1-4.

Direct, ça fait « Tilt ! » On fonce devant le coffre fort qu'on avait trouvé.
Laul réussit direct à l'ouvrir.
Dedans, pas de bijou... pas de fric... des dossiers. Des gros dossiers avec le logo du Loop.
On en prend chacun un.

En regardant pas la fenêtre, on voit une espèce de grand cercle dans le jardin. On décide d'aller voir ça de plus près.
C'est une sorte de piscine avec une margelle en béton orange et blanche. Ça a l'air profond... avec des branche on sonde un peu. Vers 2m50, on rencontre un fond vaseux.
Il y a tellement de ronces qu'on ne peut pas faire le tour.

Bon, on décide de repartir au repaire et de mettre les dossier au sec.

On les regarde un peu et on découvre une carte du cyclotron avec 9 points bien répartis. Un des points a l'air d'être la maison hantée...

Samedi 19 Novembre

Pendant la semaine, Bill est allé chercher des infos sur Alain Mandeur. Mais, que dalle...

On se souvient que Marcel va faire ses courses le matin donc on retourne planquer sous l'abri-bus. Bingo ! 9H34 il sort de chez lui. Bill décide de le suivre pour le surveiller. Avec Laul, on descend direct jusqu'au téléphone. Slip se cale à mi-chemin pour attendre le signal de Bill si jamais il y a un souci.
Arrivé en bas, je choppe direct une pièce et je me prends une boisson.
On décroche le téléphone et on demande à Ricky ce qu'il a fait la veille. On espère avoir un indice sur l'époque à laquelle il est coincé.

On entend Tibato nous gueuler que les gendarmes arrivent.
On raccroche vite fait et on remonte en courant.

Par la fenêtre Tibato voit quelqu'un. On se planque tous les trois jusqu'à ce que la voiture redémarre.

Slip se barre... Quelle fiote celui-là... Il y aurait eu un fil de téléphone à suivre, l'autiste serait venu... mais bon là, un peu d'effort à faire en descendant et en montant les escaliers, un condé qui passe et hop, plus personne... Je rigole en pensant « Slip il fait dans son slip... » Faudra que je la lui sorte une fois celle là. Pas sûr qu'il apprécie.
Nous, avec Laul, on redescend.
Au téléphone avec Ricky, on lui dit de venir demain à 9h à l'abri-bus pour jouer au foot. On viendra le chercher. On verra bien ce qu'il se passera demain.

Il finit par nous dire qu'il a trouvé une super pierre noire. Il s'est fait engueulé à cause de ça mais il l'a quand même gardée.

On ressort et dans la rue on croise le Marcel et il s'énerve quand je lui demande s'il a un gamin pour qu'on joue au foot.

À peine arrivé au repaire, Slip reprend ses recherches de fils de téléphone. Des fois, j'ai du mal à le cerner...

Avec les autres, on épluche les dossiers du Loop et on repère une liste de noms, presque un organigramme.
Il y a un nom qu'on reconnaît : Alain Mandeur.
Il fait partie d'une liste de 9 noms à côté d'autres noms qui eux sont plutôt organisés hierarchiquement.

Dimanche 20 Novembre

8h55 On se plante à l'abri-bus avec un ballon de foot en attendant ce qui va se passer.
Mis à part une chouette Porche 911 Carrera noire... Rien.
À si, la bagnole de gendarme s'est pointée encore une fois. Slip a encore fait dans le sien... Il s'est couché direct sous le banc et s'est barré dans le talus.
Vachement courageux le mec.

Bon, on n'a rien appris de nouveau pour le coup... On décide de rentrer un peu chez nous et de nous montrer à os parents.


Lundi 21 Novembre

À la récré je montre aux copains la lettre de Jason.

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Mercredi 23 Novembre

Vers 13h on part avec les copains pour la « mer de pierre » pour voir si les boules dont nous a parlé Jason sont bien les mêmes qu'ici.
Ça pèle encore. Mais bon, en 2h on y est. Laul fait quelques photos et Bill entre dans la boule 404.

En fouillant autour des boules, Tibato trouve des traces de pas qui sortent de l'étang. Les traces se dirigent vers la boule 414.

Dans la boule 404, Bill ne voit rien, mais il entend la mer. Il regarde dehors et voit une sorte de marais. Il nous dit qu'il entend aussi des bruits d'animaux. Nous, on ne le voit plus...
Il a disparu !
Lorsqu'il réapparaît, il nous raconte qu'il est sorti, qu'il a vu un paysage inconnu et qu'il a ramassé un caillou. Il nous le montre.
On remarque que ses lacets sont devenus orange.

On s'approche de la boule 414 et on entend un souffle. Bill entre à nouveau dedans. Il disparaît... Comme dans l'autre boule.
Quand il sort il n'a pas l'air d'aller super bien. Il nous raconte qu'il faisait chaud là où il est arrivé. Qu'il a vu les tours du Loop au loin mais qu'il y avait du sable autour de lui. Il a écrit dedans « Bill was here » avec des petits cailloux.
On pense tous directement que c'est Boulder City. Et qu'on va pouvoir demander à Jason d'aller voir près de la boule s'il trouve les inscriptions de Bill.

Quand il se redresse complètement, Bill a l'air plus grand. Carrément plus grand. Il a grandi d'au moins 10cm...

Slip test en mettant une carte dans la boule. Elle disparaît, elle réapparaît. Après plusieurs cycle comme ça, il la ressort et on découvre que les couleurs de la carte ont changé.
Wouhaou, on peut voyager grâce aux boules, mais bon ça a l'air de nous changer un peu...

On décide de repartir à la maison, on en a assez vu et Bill n'est vraiment pas bien...

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeLun 6 Juin - 19:38

Jeudi 24/11

On répond à Jason, on lui dit d'aller aux boules pour voir le message de Bill. Ainsi que de laisser un objet le dimanche 4 décembre à 7h du mat. On lui parle également des disparitions et on lui demande s'il y en a aussi aux US.


Samedi 26/11

Il neige. Bill va voir son voisin pour lui raconter ses soucis de taille, il va y passer un peu plus de temps pour l'aider.

Tibato va à la bibliothèque chercher des infos sur les deux autres Loops.

Le loop en Suède a été construit en premier. Il est situé dans une zone plutôt désertée et est en partie sous l'eau, sous terre et dans l'eau. C'est l'état qui le gère.

Aux États Unis, c'est un site militaire situé prés de la zone 51.

Je vais avec Jazz chez Marcel pour parler à Ricky et lui demander où il a trouvé sa pierre noire et où il l'a posée.

Il nous dit qu'il a essayé d'aller au stade de foot la dernière fois mais qu'il ne nous a pas trouvés. La pierre qu'il a trouvé a disparu. On lui propose de laisser 1 capsule temporelle prés de la gare.
Il nous indique également qu'il parle à travers du haut-parleur de la gare.

L'après midi, on se retrouve au repaire et on creuse. Chou blanc

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On se dirige ensuite vers la bibliothèque pour chercher des renseignements sur le prisonnier évadé. Il s'appelle Georges Marksein, il s'est évadé en semaine 38. C'était un notaire et il a été arrêté pour malversation et abus d'influence. Il a abusé de sa position pour faciliter la vente d'un terrain à Pharmacorp au dépend du loop. J'essaye d'avoir des infos sur cette firme mais le bibliothécaire  n'a plus envie de nous aider. Mes parents m'indiquent que c'est un concurrent du loop et qu'ils sont à la limite de la légalité. Ma remarque sur les activités du Loop n'ont pas trop l'air de les faire rire.


Dimanche 27/11

On passe une bonne partie de la journée à creuser mais toujours rien. Ensuite, on cherche des infos dans les dossiers de Alain Mandeur. A priori, les résultats des expériences n'étaient pas vraiment positifs. Tibato propose d'essayer de placer les 9 points sur une carte.

Vers 16h, on part en vélo vers le point le plus proche au sud. On arrive à Blanc les Rousses. On voit passer une Porsche 911. Super classe la caisse !!
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Un peu plus au sud, on découvre un bâtiment en pleine campagne qui pourrait être ce qu'on cherche. Il est abandonné. La charpente s'est écroulée. On fait le tour, on pense avoir trouvé une sorte de laboratoire.
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Bill & Jazz trouvent rapidement les couleurs du Loop et un bassin similaire à celui trouvé chez Mandeur. Une analyse des restes de la charpente me font penser à un incendie criminel.
On rentre à la maison.

Mardi 29/11

Je demande à la prof de SVT des infos sur Pharmacorp. Elle me précise qu'ils ont inaugurés leur labo il y a 7 ans.
Tibato récupère un téléphone chez Electron Nova (ça faisait longtemps) et repère un livre intéressant à la librairie : "La sorcière de la montagne noire"  Un livre dont on est le héros qui sort le 6 décembre.

Mercredi 30/11

On décide d'aller voir le potentiel bassin au nord. Tibato repère un câble (quelle manie) qui nous amène vers 1 bassin qui a été comblé avec de la terre. Pas très intéressant.
On continue vers le prochain et on découvre une maison au milieu de nulle part. Elle est habitée par un certain Cédric Simon d'après la boîte aux lettres. Il est là et nous indique qu'il a détruit un bassin en construisant sa maison.

On rentre au repaire. Tibato essaye de trouver l'emplacement de la capsule en faisant des calculs savants. ça fonctionne !!
On trouve une bouteille en verre avec une photo de 2 gamins dont Ricky datée du 7 aout 1952.

Samedi 03/12

On commence par aller chez Marcel Massy. 9h54, il n'est toujours pas sorti. Je vais sonner avec Jazz, quand on aperçoit une voiture de gendarmerie arriver. On se planque. C'est Fougasse qui rend visite à Marcel. Il repart vers 10h20 en disant à "Tout à l'heure" .

On attend encore 10 minutes mais Marcel ne sort toujours pas. On décide donc de repartir au repaire. On se demande qui pourrait nous donner des informations sur le copain à coté de Ricky et j'ai soudainement une brillante idée. Le proviseur travaille au collège depuis une éternité, il doit forcément savoir.
On arrive chez lui, il nous fait rentrer. Il nous confirme que c'est bien Ricky sur la photo et que son copain s’appelle Maxime Rattam.
Il nous explique que Marcel en a longtemps voulu à Max, il le rend responsable de la disparition de son fils. Maxime est une personne adorable marquée par une sorte de malchance. Il est lié a de nombreuses blessures physiques inexpliquées.
Il nous invite à manger .

Le service de renseignement nous met en contact avec plusieurs Rattam mais ça ne donne rien.

14h On croise Fougasse et on en profite pour l'interroger sur Maxime et Ricky. Il nous explique qu'il bosse sûrement à la carrière. Il nous demande également d'ouvrir l’œil
au sujet du notaire. Il nous donne une photo qu'on va photocopier chez ElectroNova. Tibato en profite pour se déstresser en faisait des circuits imprimés.

On arrive à situer la carrière à environ 8km du repaire, on décolle vers 15h30. Ça semble ouvert, un ouvrier y travaille.

Journal de Jazz Photos-CHAUSSE-337carriere-calcaire-scaled

On se dirige vers un bâtiment qui semble être des bureaux. La boîte aux lettres nous confirme qu'on est au bon endroit. On essaie d'attirer l'attention de l'ouvrier. Il nous confirme être Max. Il a environ 50 ans. On lui parle de Ricky et la pierre noire. Il nous donne rendez-vous samedi prochain pour en parler. Il semblait dubitatif  Journal de Jazz 1f605


Dimanche 04/12

Le matin, je passe prendre des avis de recherche à la gendarmerie. On se retrouve à 13h au repaire pour décoller direction le lac de la mer de pierre. On arrive à 14h30. On a 1h30 devant nous, il fait froid on fait un feu et j'écris des idées pour ne rien oublier lors notre rencontre avec Jason.

16h, on se dirige vers les sphères quand on entend un bruit de moteur. Jason répond à notre appel. C'est trop cool !!
On fait passer une plume d'archeoptérix. Il l'a récupère. Il n'en revient pas!

Jazz rentre dans la boule pour rejoindre les US. Il discute avec Jason et son frère Tommy. Ce dernier part chercher les menottes à leur domicile. Il lui confie qu'il les a trouvées il y a 1 mois environ et lui montre l'endroit. En jetant un œil, Jazz retrouve le dernier bout de la menotte qui était cassé.
On se redonne un RDV pour le 18 à la même heure.

En repassant à travers les boules, Jazz revient avec les cheveux blonds et longs. (Super classe !! )
Tibato qui les avait rejoint un peu plus tôt revient lui avec la voix qui a muée vers les Barytons.

On repasse au repaire déposer les menottes et on rentre se reposer pour la semaine suivante.

Lundi 05/12

On reçoit la lettre de Jason

Mardi 06/12

Sortie du livre "La sorcière de la montage noire" Tibato et moi achetons le livre. On y prévoit d'y jouer demain.
Perso je ne peux pas attendre et j'y joue un peu le soir pour voir. Ça à l'air super cool !

Mercredi 07/12

Tibato, Bill et Jazz décide de jouer ensemble, pendant que je reprends là où je m'étais arrêté. Les trois se prennent vite la tête à propos de la stratégie à adopter. Jazz veut foncer dans le tas pendant que les autres veulent être plus prudents.

Jazz s'énerve de plus en plus et est vite mis de coté par les autres. Il me rejoint. Malheureusement, les deux parties s'arrêtent plus ou moins au même moment. Ce n'est pas facile !
Jazz passe chez le coiffeur et nous on rentre.

Samedi 10/12

8h30 départ pour la carrière. Maxime travaille avec l'aide d'un robot découpeur impressionnant. Tout à coup, une pierre se décroche et tombe dans notre direction avec Bill. Je vois ma vie défiler devant mes yeux quand je me prend un souffle de poussière. Ouf, par contre plus de trace de Bill.
Grosse panique, quand soudain on l'aperçoit un peu plus loin avec Max.

Que s'est il passé ??

Max nous explique alors ce qu'il s'est passé avec Ricky. Ils sont tombés sur un 1 gisement de pierre noire brillante. Ricky a disparu dès qu'il a touché une pierre alors que lui c'est la pierre qui a semblé fusionner avec lui.
Depuis ce jour, il a des supers pouvoirs. Il est super fort et rapide. Super classe mais en même temps super flippant !


Dernière édition par wardus le Lun 13 Juin - 19:51, édité 11 fois

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeLun 6 Juin - 20:53

10 décembre 14h : grosse neige.
On se retrouve au repaire. Jazz tarde à venir. On s'inquiète, du coup, je vais passer un coup de fil depuis la cabine à côté. Pas de réponse, je retenterai plus tard.

On réessaye le livre. Bill et Tibato le font ensemble et moi seul de mon côté.

En gros, il s'agit d'une lutte contre une sorcière "Santa Asia" qui tente un rituel satanique avec une secte devant une montagne noire.

On perd encore. Ce n'est pas facile !

16h je retente de rappeler Jazz. Sa mère nous explique qu'il était censé être avec nous. On s'inquiète un peu et on passe à la gendarmerie.

Fougasse nous reçoit, on lui explique rapidement qu'on pense qu'il pourrait être à la mer de pierre. Il nous dit qu'il peut éventuellement y aller mais ce n'est pas gagné.

11 décembre :

J’appelle chez Jazz. Toujours pas rentré. On monte au lac. Une vieille voiture nous double dangereusement.

La route est longue, on arrive au bout de 2h30. Des patineurs s'amusent sur le lac

Journal de Jazz 2022887-patinoire-naturelle-pascale-godet-fiche

On approche des sphères, des traces de pied sortent de la sphère 414. Elle ne ressemble pas vraiment à des bottes de neige mais plutôt à des petits mocassins. On pense tout de suite à Georges Markstein.

Les traces s'enfoncent dans la forêt et nous amènent après 30 minutes de marche devant un grand bâtiment du Loop et une piste de ski fond.

Bill s'approche du bâtiment, voit des traces devant la porte ( a priori dans les 2 sens)

On n'est pas chaud pour tenter d'entrer et on repart vers la ville. Ce lieu est d'ailleurs un des points rouges de la carte.

15heures : On passe à la gendarmerie. Judascot nous reçoit, on lui raconte qu'on pense avoir aperçu Markstein avec la paire de menotte. Il a pas l'air convaincu.

Du coup, j'appelle Fougasse en lui expliquant qu'il tient la chance de sa vie de prouver sa valeur. Il est motivé et m'explique qu'il va aller faire un tour.

Je rentre me reposer et jouer de la guitare. Les copains retentent le livre. Nouvel échec.

Mon appel chez Jazz ne donne rien. La maman est fatiguée et frustrée du manque d'entrain des gendarmes et son père semble encore bien bourré !

Vers 21h30 Fougasse m’appelle. Mon père me prend la tête. Le relou...
Fougasse est bien allé à l’entrepôt mais il n'a pas réussi à entrer. Il n'a pas voulu insister. C'est bien dommage, surtout qu'il nous expliquera quelques jours plus tard qu'il y avait bien quelqu'un à l'intérieur.

12 décembre :

A l'école, on voit une affiche pour Jazz. Pas de news de Max au repaire.

14 décembre :

Après le repas, on se dirige vers la maison hantée, rien de spécial. Jazz n'a pas récupéré la voiture pour aller faire le con.
Tibato propose de monter chez Max pour laisser un mot afin de le prévenir de la disparition de Jazz. Je ne vois pas trop l’intérêt surtout qu'il nous avait bien dit de plus monter le voir.  

Sur le chemin, on croise Patrick Caupert qui marche vers un sommet avec un énorme sac à dos.
Journal de Jazz Belle-photo-randonneur-sac-dos-voyage-rouge-randonnee-montagne-enneigee-hiver_181624-26489

On apprend ensuite à la gendarmerie qu'il y a eu 2 disparitions supplémentaires. Mélanie Marchal, la fille violente du club photo et Cyril Duprez un jeune de 21 ans. Les gendarmes sont dans le flou.

15 décembre :
Rien à signaler

16 décembre :

A l'école, je fais marcher mes relations pour apprendre que Mélanie a été vue la dernière fois mardi soir. Rien à signaler sur son emploi du temps.

Le soir, je fais deux fois l'histoire du livre, je suis proche de la fin mais j'échoue une nouvelle fois. Le réveil va être dur demain!

17 décembre :

Je rends visite à Joe qui me conseille de plus dormir. Certes...

On essaye d'aller rendre visite à Riki. Fougasse est chez Massi. On décide donc de partir. On repasse à la médiathèque, Patrick qui était absent jeudi n'est toujours pas là. On va voir chez lui et sa femme nous explique qu'il a disparu. On lui explique qu'on a aperçu son mari. Elle est étonnée car ce ne sont pas ses coins de rando habituels.

En discutant de donjon & dragon, elle nous explique qu'il jouait beaucoup à "La sorcière de la montagne noire"

On fait vite un lien entre le livre et les disparitions. Jazz voulait l'acheter. Le père de Cyril nous apprend qu'il jouait également et que c'était sans doute lui qui nous a doublés comme un fou furieux l'autre jour.

Le libraire nous confirme que Mélanie a également acheté le livre.

On tente de prévenir les gendarmes (qui nous apprennent que le total des disparus monte à Cool  mais ils ne semblent pas convaincus par notre théorie. C'est vrai que c'est un peu tordu de penser qu'un livre pourrait être responsable de 8 disparitions.

On essaye de faire des recherches sur l'écrivain. Il se prénomme Tom Master. On se rappelle qu'il avait pendant longtemps le meilleur score sur une borne à la salle d'arcade.
Salle qui a été fermée suite au pétage de plomb d'un android qui avait cassé la moitié des machines.

Cette après-midi, j'ai ma répétition avec les copains du groupe. C'est cool, ça fait du bien de se changer un peu les idées. Pendant ce temps, les copains passent voir le libraire, ils arrivent à confirmer que les disparus ont sans doute acheter le livre et récupérer 5 noms d'acheteurs qui ne sont pas dans la liste. Le libraire accepte d'enlever les derniers exemplaires qui lui reste

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeLun 13 Juin - 21:21

18 décembre

Il fait beau. On va chez Jazz, il a bien acheté le livre et en a fait plusieurs parties. Son sac à dos n'est pas là non plus.

On monte au bâtiment où Markstein se planque(ait). On arrive vers 10h30, la porte est coincée par la neige mais on arrive à la débloquer. Il n'y a pas de serrure .

On entre prudemment. Tibato découvre un mécanisme pour l'ouverture/fermeture de la porte.

Un énorme robot semble se reposer. Il est assis, semble ancien et est assez abimé.

Bill trouve un reste de cigare dans le feu. Il y a une couche de feuilles qui a du servir de lit.

Tibato fait le tour du robot. Il entend du bruit qui se déplace dès qu'il cherche à voir d'où il vient.

Il aperçoit un truc métallique qui bouge dans le robot. Des diodes clignotent et on aperçoit un petit robot qu'on nommera Nono.

Journal de Jazz Robot

On arrive à communiquer avec lui. Il nous confirme qu'il s'agit sans doute de Markstein qui dormait là.

On voit également qu'il a l'air super rapide. Il nous suit sur la piste de ski de fond. On ne trouve pas de trace du notaire.
On mange et on remonte vers les boules.
Je suis un peu blasé et ronchon, je reste dans la cabane pour prendre des notes pour notre RDV avec Jason.

Bill et Tobido se dirige vers le véhicule de gendarmerie en panne. Ils y découvrent des impacts de balles, des traces de sang et la présence d'un probable complice. En effet, la barre d’attache semble avoir été dévissée.

Vers 14h45, les américains arrivent. Bill et Tobido retraversent. Je ne sais pas si c'est débile ou courageux.

On leur raconte que Jazz a disparu.
Il nous raconte que les tours ont dégagées à 5h au lieu de 6H habituellement. (Intéressant ? )

On regarde pour désactiver les boules. Il faut une clé spécial du Loop. Il faudra qu'on regarde pour en piquer une dans la caisse à outils d'un réparateur.

En discutant de l'affaire du fugitif, on apprend que Pharmacorp possède des bureaux aux US. IL y a peut être un lien.

Tibato revient sans couleur et Bill avec un bras cassé.

Je me dépêche de rentrer pour prévenir sa mère qui monte le chercher.

Je passe un coup de fil à Isa qui m'apprend que son mari n'est toujours pas rentré.
J'apprends également qu'il y a un grand rassemblement au pied d'une montagne. Au minimum une centaine de personnes s'y trouve et ne semble pas ouvert à la discussion.

Pas de trace des disparus.


19 décembre

Un pion me donne des infos sur l'ancien proprio de Citizen Game, Tony Collangelo. Il m'informe également que la salle va bientôt réouvrir trop cool !

En discutant du regroupement de la montagne. On se souvient qu'on avait entendu parler de la montagne noire. Le sommet qui n'est jamais enneigé. Des fois, on n'est pas super malin quand même. 6h de vélo et 2h de marche. Ça va être compliqué d'y aller.

Le soir, je passe devant la maison du notaire. Il y a de la lumière. Je ne reste pas.

Les autres passent devant l'étude du notaire. Portes fermées et sous scellées .

20 décembre

De + en + de journalistes travaillent sur le regroupement. Le mystère reste complet. Les personnes ne restent pas longtemps sur place mais montent rapidement au sommet de la montagne.

J'appelle Tony, il m'indique que Tom Master s'appelle réellement Thomas Tellin (ou Tallin), un intello de 27 ans. Plus de contact

A priori, Tibato semble connaitre sa mère.

Je repasse chez le notaire, je monte le mur et j'aperçois un couple à l'intérieur de la maison. Possible que ça soit George? Au même moment, un véhicule de la gendarmerie vient faire le guet pendant 15 minutes.


21 décembre

On se dirige vers l'étude de notaire.

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeSam 18 Juin - 13:42

Chez le notaire, on essaye de voir comment on peut rentrer. Aucune clé cachée, porte fermée. Pas simple de s'improviser cambrioleur!

En plus, un voisin du bas commence à monter pour voir qui fait du bruit. Je descends rapidement, je lui raconte des bobards mais du coup je suis grillé. Je sors. Les copains me rejoignent.

Ça va être compliqué également de monter par derrière, ils ont leur terrasse derrière le bâtiment.

Plan B, on va récupérer les gâteaux de ma maman. On se déguise vite fait en scout et on sort direction la maison de Markstein.
Le portail s'ouvre peu après notre arrivée, une jolie Audi 100 sort

Journal de Jazz 1081

C’est Mme Markstein, Jolie femme bien apprêtée. Elle est pressée et nous dit de revenir pour 18h.  

Tibato arrive à escalader le mur sans se faire repérer. Il va nous ouvrir le portillon. On rentre dans le jardin, on fait vite fait le tour de la grande maison.  
Il aperçoit furtivement un homme qui pourrait être George Markstein. On se planque quand une voiture arrive dans la cour.
On se dirige vers le devant de la maison. C'est une voiture de la gendarmerie conduite par Judascot. On s'attend à une arrestation musclée et spectaculaire, quand on voit George sortir tranquille de la maison et monter à l'arrière du véhicule. Dur à croire qu'il vient de se rendre.

On se dirige vers la gendarmerie pour vérifier. On croise Mr le Maire Delfosse qui en sort. On le salue mais rien de spécial à lui dire. Foougasse nous apprend que 3 gendarmes d'Annecy étaient avec GM lors du transfert du prisonnier. 1 a été gravement blessé. Le véhicule est resté 2h devant la gendarmerie pendant la pause de midi. C'est peut être à ce moment la que le sabotage de la barre a été effectué.
Il nous raconte que Judascot était censé être à la montagne noire aujourd'hui. De plus en plus suspect le chef!!

L'après-midi, On passe vite fait chez Massi pour voir si il a changé ses habitudes de sortie. Il est là avec la jambe plâtrée. On comprend mieux pourquoi il ne sort plus.
On lui vend des cookies et on tente de lui parler de Max. Il nous claque la porte au nez!

On rentre au repaire. Maintenant qu'on a le téléphone, c'est plutôt cool. On appelle l'éditeur pour tenter de retrouver l'écrivain. Il passe le message.
On trouve l'adresse de la maman Lena. On y va. Elle habite dans une caravane située dans un quartier un peu craignos.

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Elle nous ouvre en très petite tenue et se couvre rapidement en nous apercevant. Toujours la ruse des cookies. Elle nous fait entrer. Tibato arrive a jeter un œil sur un album photo quand elle est à la cuisine pour chercher de l'argent.
Il aperçoit notamment une photo d'un jeune adulte devant un bâtiment du Loop n° 4. Plus de trace du mari.
Elle nous achète les gâteaux et nous fout dehors, son client va arriver!


Bill rentre chez lui, on se dirige avec Tibato chez Markstein. Judascot arrive plus ou moins au même moment. Je rentre dans la propriété mais je me fais repérer. Je fais le coup des gâteaux qui fonctionne plus ou moins bien mais je me fais virer par le gendarme.

en attendant 18h, on va vendre le reste des cookies avec Tibato. On se fait 44fr en tout ! super cool

En retournant chez Markstein, sa femme arrive au même moment, du coup elle nous achète les gâteaux devant son portail. Pas de bol, on n'a pas pu rentrer chez eux.

22 décembre

On récupère la correspondance des deux Jason auprès de la prof de Français.

Journal de Jazz Lettre1

On lui demande en réponse des infos sur Pharmacorp. Réponse le 9 janvier.


23 décembre
C'est mon anniversaire. Les copains m'offrent le dernier vinyle des Ramones Excellent ! Je l'écoute le soir. Je répète avec les copains du groupe pour la grosse fête de demain. Ça va être trop cool !



24 décembre

Boom l'après-midi puis réveillon de Noël en famille.

25 décembre

Noël en famille. C'est les vacances !!!

26 décembre

Je lis le journal. Environ 500 personnes sont déjà arrivées à la montage noire. A priori, il faut 1000 personnes pour déclencher le sortilège! L'armée est sur place pour gérer la circulation notamment. Rien n'indique un retour à la normal possible. Les gens sont toujours muets.

On se retrouve au repaire motivé pour enfin le livre. Bill et moi jouons pendant que Tibato nous surveille et compulse les dossiers de Mandeur.

Au bout d'une heure trente , je perds lamentablement. Bill pendant ce temps progresse bien et arrive à avancer. Tout d'un coup, il commence à paniquer et trembler. On voit qu'il n'est pas bien du tout mais qu'il essaye de se battre contre quelque chose.

Il nous raconte qu'il a senti un appel puissant à rejoindre la montagne mais qu'il a su résister. Il ne veux absolument plus jouer

Intrigué et motivé, je retente mais gros échec. Tibato prend le livre de Bill et essaye également. Même phénomène que Tibato. Il ne veut plus y jouer non plus.

Je retente une troisième fois. Cette fois ça se passe beaucoup mieux. Mais je me prends l'appel de la montagne en pleine face violemment. Je n'étais absolument pas prêt à cette violence. Je lutte, j'essaye de continuer malgré tout le livre. Tout d'un coup, je me libère de l'emprise du mal et jette le livre au feu. Quelle épreuve! Je comprends mieux la foule qui se dirige vers la montagne.

On décide de retourner à la caravane de la mère de Thomas.
On y va cash et on lui raconte nos soupçons sur les projets de son fils. Elle nous dit qu'il faisait des études sur la chimie du cerveau. Domaine qu'elle connait vu que c'était sa spécialité au Loop quand elle y bossait. Malheureusement, un désaccord avec ses dirigeants sur l'éthique de ses études mis fin à son contrat et lança sa longue descente aux enfers!

Elle est dubitative devant nos révélations. Elle pense que c'est possible, qu'il aurait dépassé ses travaux à elle. Mais on arrive pas à la convaincre de nous aider à raisonner son fils. La seule information utile est que son fils habite quelque part vers la montagne noire.

On organise notre journée de demain en demandant au copain de Bill de nous déposer le plus prés du bâtiment 6.

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeLun 27 Juin - 21:57

27 décembre

On arrive vers 8 heures au bâtiment 6. Nono, qui s'appelle réellement VIP14 est ok pour nous amener au bâtiment 4. On arrive plus ou moins à estimer la durée du trajet à 3h.

Un moment donné, j'aperçois un énorme véhicule au loin dans le ciel. On devrait le croiser en cours de route.

Tibato s'enfonce le pied dans un endroit un peu boueux. On aperçoit pas mal de plantes aquatiques, il semble faire un peu plus chaud. On doit être dans une sorte de marais.
Nono commence à faire des zigzags. On est en plein milieu d'une sorte d'énorme bassin avec plein de zones de passage surélevées. Je trébuche et tape sur un des rebords. En réponse, une énorme bête surgit du bassin et fonce sur nous mais tape uniquement le bord du chemin.

Il me semblait bien qu'il y avait des bruits étranges dans la flotte.

Endroit à noter et à revoir.
Nono s'arrête et semble communiquer avec qqch.

On sort du marais, le véhicule aérien nous croise. C'est un immense cargo d'une 50aine de mètres de long. Impressionnant. Je prends une photo. On sent une forte odeur d'ozone . Le sol semble vibrer et on se sent plus léger. Surprenante sensation !

Journal de Jazz 00150711-454x400

Nono se met en boule et se stoppe. On le porte pour avancer. Il se remet en route une fois que le cargo s'est éloigné.

On suit un petit sentier sur 1 km et on arrive devant une petite butte avec le bâtiment 4 au sommet et la montagne noire dans le fond (on estime à 2h de marche pour atteindre le sommet) . Pas de discrétion possible au vue du terrain. Le bâtiment est en meilleur état que l'autre mais est en tout point identique.

Pas de trace humaine au tour du bâtiment.

La porte est fermée par un cadenas. On arrive à motiver Nono à l'ouvrir. Il part directement se brancher.

Le bâtiment a été aménagé en un immense labo et deux niveaux montés sur d'immenses plateformes. Les 2 étages sont pour l’habitation (cuisine, chambre à coucher)

Bill s'occupe de fouiller les étages pendant qu'on s'occupe avec Tibato du laboratoire de chimie.

Il allume un ordi qui est verrouillé.

Je trouve des pancartes style "attention danger" faites maison plus ou moins bien peintes.

Deux armoires contiennent des documents un peu différents, datant de 10-15 ans avec le logo du loop.
On trouve également une armoire remplie de vieux livres sur la chimie et la neuro science et une autre contenant des classeurs de cours.

Des documents sans entête plus récents et moins formels occupent une 4ème armoire et les deux dernières sont remplies de documents du Loop datant d'entre 2 et 4 ans.

On lit qu'il a fait son stage au Loop avec comme tutrice Sarah Takova

Trop de documents à fouiller mais on ne perd pas notre motivation et Tibato trouve un tas de carnets remplis de sorte de signes étranges. On pense rapidement à un code secret.

On essaye de les décoder mais c'est dur. On monte manger le repas de Bill pour reprendre des forces.

En trouvant les bons arguments, j'arrive à motiver Nono pour déverrouiller l'ordi mais ça ne donne pas grand chose. J'arrive à en allumer d'autres et on trouve un ordi servant de traitement de texte. On trouve une boite de disquettes qui contient celle du livre.

Journal de Jazz Floppy-Disk

On trouve également le schéma complet de l'avancée du jeu. Bill essaye de le refaire en trichant et en suivant le schéma. Ça ne donne absolument rien.

J'avance un petit peu sur la traduction des carnets. A priori, ils parlent tous du projet de la montagne noire. Je focalise mes recherches sur les mots clés comme annulation et j'arrive à trouver la solution. J'y passe une bonne partie de la nuit mais j’apprends qu'on est en face d'un phénomène d'hypnose qui peut être stoppé avec le mot PETOHTALRAYN

28 décembre

Départ pour la montagne, on repère un véhicule du loop devant des équipements de communication. On a pas le temps de voir, on zappe.

On récupère la route principale qui est remplie d'automobiles laissées à l'abandon, les clés sur le contact.

Un peu plus loin, on se planque quand on entend des voix. Une trentaine de personnes se trouvent la, des journalistes, des militaires, la croix rouge.

On contourne tout ça et on récupère le chemin. Nono ne suit plus. On entend des paroles devant nous, on se planque vite fait, ce sont 2 militaires qui redescendent.

1 homme monte en même temps, il est un peu en mode zombie et passe devant les 2 militaires qui ne bronchent absolument pas. On le rattrape et essaye le mot magique mais ça ne donne absolument rien.

On continue et on arrive pas loin de la grotte. Il fait un peu plus chaud. 2 militaires gardent l'entrée. Ils laissent passer le zombie. On fait pareil.

Il s'agit d'une faille dans la montagne. Un escalier descend sur 5 marches et débouche sur un long couloir. On voit des panneaux identiques à ceux trouvés dans le bâtiment 4. On est sur la bonne piste !!


Encore un escalier qui débouche lui sur une immense salle circulaire. Des sortes d'étoiles illuminent la pièce et on peut apercevoir une immense foule entourant une grande pierre noire qui lévite au dessus d'une crevasse.

On écrit le mot sur des papiers et on arrive à "libérer" les gens. Bonne idée de Tibato! On retrouve Jazz, on le libère mais comme les autres, il semble encore ailleurs et quitte la pièce en ne calculant pas grand chose.

Tibato a l'impression qu'on vient de le bousculer. Bill et moi n'avons rien senti.
On décide de sortir quand on a tous les 3 ressenti une sorte de mouvement de sol.

On reste au sommet un petit moment quand on entend des bruits de pas qui remontent. On se planque et on aperçoit Tom, il semble contrarié et dubitatif par ce qu'il vient de se passer.
Il descend dans la montagne, on le suit en pensant à prendre des armes et en marchant en version zombie.
Il ne réagit pas, je lui mets un énorme coup de pierre pendant que Bill le pousse. Il tombe sur la pierre et disparait!

Super flippant, on dirait la disparition de Ricky!

On est soulagé d'avoir libéré les gens de l'emprise de ce psychopathe.
Le sol tremble de plus en plus, on court vers la sortie le tunnel s'écroule derrière nous, on a eu chaud !
On redescend vers le pied de la montagne, on croise des militaires qui montent avec des combinaisons anti nucléaire. Ils sont blasés de ne pas les avoir eu avant.
Aucune interaction avec nous.  

Il ne reste plus grand monde en bas. Quelques journalistes pensent que le loop est derrière ça, j'essaye de leur dire qu'ils font fausse route mais ils m'envoient bouler.

On monte dans la voiture de Cyril Duprez. Il ne nous calcule même pas. Super bizarre. Il retourne en ville. On rentre au repaire. Coup de fil à Jazz, sa mère nous le passe en nous disant qu'il semble aller bien physiquement mais semble être ailleurs. On lui parle, sa mère reprend le combiné et nous remercie car il va beaucoup mieux depuis qu'on a discuté!

On "réveille" également Mélanie et Patricia.

Quelle journée !!

29 décembre

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Naida

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeMar 5 Juil - 12:05

28 décembre

J’ai piqué le journal qui trainait au repaire. Ça leur apprendra à me demander de faire le ménage ! Moi quand on me demande de ranger, je fouine et je prends ce qui m’intéresse.

J’ai rencontré les gars en voulant acheter le livre dont vous êtes le héros « La sorcière de la montagne noire ». Ils ont convaincu le libraire d’enlever les exemplaires qui lui restaient alors que je voulais le faire ! Quand je les ai vu aller vers la gare désaffectée, je les ai suivis en espérant une explication.

Ils refusent d’abord de me laisser y jouer, Laul me montre même les cendres de son livre. Ils ont fini par m’expliquer l’histoire du bouquin qui appelle les gens pour le rituel à la montagne. Tibato se dit que finalement, ils vont me laisser jouer afin de voir si le livre continue d’hypnotiser ceux qui le font.
Malgré leurs piètres tentatives pour me convaincre de faire le cobaye, j’accepte de jouer au livre. C’est quand même pour ça que je suis venue à la base !
Pendant que je reste au repaire avec Laul, Tibato et Bill partent à la bibliothèque chercher des infos sur Pharmacoop. Bill trouve seulement des rumeurs sur les chercheurs qui ne seraient pas très éthiques, et qui passeraient rapidement aux tests sur des humains.

Pendant ce temps, je joue au livre sous la surveillance de Laul. Contrairement à eux qui ont dû jouer au moins 8 fois avant de réussir à le terminer, j’y arrive dès la deuxième tentative. Ils sont vraiment pas doués on dirait. Une belle bande de bras cassés (ce qui est vraiment le cas pour Bill). Ils avaient bien besoin d’un peu d’intelligence féminine !
En terminant le livre, je ressens à mon tour l’appel de la montagne, et je parviens à y échapper. Une sensation vraiment pas agréable. Finalement ils avaient raison : je ferais mieux de pas y retoucher à ce bouquin !

Avec Laul on passe ensuite au bureau du notaire, il va forcer la boîte aux lettres en espérant trouver quelques infos mais ne réussira qu’à se faire prendre par le voisin qui l’avait déjà repéré. Il tente de s’en sortir par une excuse vraiment bidon qui ne convainc personne.
On va ensuite chez Markstein en espérant voir quelque chose d’intéressant. Laul manque tomber et nous faire repérer, heureusement que je suis là pour le rattraper ! Après une demi-heure, on finit par apercevoir le couple Markstein se disputer, mais rien de plus. On aurait bien aimé une preuve de la complicité entre Judascot et lui. On se donne rendez-vous le lendemain au repaire pour partir observer ce qu’il se passe à Pharmacoop.


29 décembre

On se retrouve pour surveiller Pharmacoop. De nombreux gardes accompagnés de chiens visiblement pas très sympas sont là assez tôt, et certains font des rondes. Peu après l’ouverture du premier portail, une cinquantaine de voiture va rentrer et se garer sur le parking de Pharmacoop. Rien qui ne semble sortir de l’ordinaire.
On décide de faire le tour le long du grillage, Bill espérant trouver un tunnel qui serait par un heureux hasard non surveillé. A croire que l’aspect féroce des chiens de garde ne l’a pas dissuadé de vouloir rentrer par effraction. Évidemment pas de tunnel, juste un ruisseau qui traverse la propriété, mais sans donner la moindre chance de rentrer.

Journal de Jazz 610112e780af65d59af245a9602ba2dd-9421547

On repart donc, en prévoyant de d’aller faire le guet chez Markstein. En chemin on passe devant la gendarmerie, où se trouve un attroupement de journalistes. Ils cherchent à en savoir plus sur la disparition et la réunion de toutes ces personnes à la montagne. Judascot fait son petit discours pour tenter de les convaincre qu’il n’y a rien de plus à savoir. Laul va voir un cameraman, en tentant de l’appâter en disant qu’il possède des infos. Bien évidemment il l’envoie paître. Qui écouterait une personne avec des goûts capillaires si douteux ?

On s’installe ensuite chez Markstein mais rien ne se passe. Malgré le beau temps il fait froid. Qui a eu l’idée de faire le planton ici ? Je pars au réapprovisionnement chercher des sandwichs, faut bien redonner un peu de courage aux troupes. Ça reste le calme plat chez les Markstein ; Tibato voit juste une voiture de gendarmerie passer une fois devant la maison avant de repartir. Tibato se branche au téléphone de la maison afin d’écouter si jamais ils reçoivent des appels, mais rien à part une amie de Lisa Markstein qui propose une sortie cinéma. L’obsession de Tibato avec ses téléphones ne nous est encore une fois d’aucune aide…
On décide ensuite d’aller récupérer des infos du côté du directeur du collège : Markstein et Judascot semblent avoir le même âge, peut-être ont-ils été en cours ensemble ? Ce n’est pas le cas, en revanche sa femme Lisa a elle été dans la même classe que Judascot. Le directeur nous apprend d’ailleurs qu’ils sont tous les deux originaires du même village : Blanc-les-rousses.

En ressortant, nous apercevons encore une camionnette d’entretien du Loop. Faute de mieux à faire, on décide de la suivre, laissant derrière nous Bill et son bras cassé. En la suivant, nous passons devant chez Darfel. Étrangement, quelqu’un change ses pneus juste devant chez lui, et il nous semble familier… Cette fois Laul s’abstient de tout commentaire.
La camionnette s’arrête enfin au niveau d’un relais. On finit par décider que Laul, Bill (qui a finit par nous rattraper) et moi allons distraire le réparateur tandis que Tibato va tenter d’aller piquer quelques outils. Notre diversion est excellente, mais Tibato ne parvient qu’à voler la clé permettant de débrancher les coquillards. C’est déjà bien.

Journal de Jazz Unknown


On retourne ensuite chez Markstein : on a passé vraiment beaucoup de temps ici aujourd’hui… Finalement, Laul parvient à prendre des photos de Markstein, qui apparaît une fois à la fenêtre . On finit ensuite par avoir une idée de plan, proposé par Laul, pour prouver la complicité entre Markstein et Judascot : on prévoit de lancer des rumeurs à la gendarmerie comme quoi Markstein serait chez lui ; on espère ainsi que Judascot appellera Markstein pour le prévenir, ou bien ira le voir pour préparer sa fuite. Comme il est déjà bien tard, on lancera ce plan demain. Tibato profite de la nuit pour bricoler de quoi enregistrer un éventuel appel téléphonique.


30 décembre

Le lendemain, on se retrouve assez tôt et tout le monde se met en place : Tibato qui écoute au téléphone prêt à enregistrer toute conversation suspecte, Laul dans le jardin des Markstein prêt à prendre des photos et Bill dans la rue de la maison des Markstein pour faire le guet. Quant à moi, je suis à une cabine téléphonique, et dès que les gars me signalent qu’ils sont prêts, j’appelle la gendarmerie. Je me fais passer pour une voisine, qui aurait aperçu Markstein chez lui. Quand les gendarmes me demandent de passer pour confirmer mon témoignage, je commence à trembler, et prétends ne pas pouvoir venir avant cette après-midi. Je me dépêche ensuite d’aller faire le guet devant la gendarmerie.

Assez rapidement, je vois Judascot en partir. Je préviens vite les copains, et Bill confirme que sa voiture vient d’arriver dans la rue des Markstein. Judascot pénètre dans leur propriété, et rentre dans la maison. Laul en profite pour prendre autant de photos qu’il le peut. Si ça ce n’est pas une bonne preuve ! Un peu après, on le voit ressortir de la maison, et Laul parvient à capter quelques mots de son échange avec Markstein : 13 heures. Si Markstein prend la fuite à 13 heures, on ne pourra sûrement pas le rattraper. Notre seule chance nous paraît d’aller demander de l’aide au sergent Fougasse.
Avec Bill, on se rend à la gendarmerie, pendant que les autres continuent de surveiller au cas où Judascot réapparaitrai. Fougasse nous reçoit, et prend d’abord plutôt mal notre accusation envers Judascot. Pour agir, il lui faut des preuves. Nous sommes donc forcés de lui remettre les pellicules montrant les photos de Markstein et de Judascot. On n’a plus qu’à lui faire confiance.

On retourne faire le guet chez Markstein, et moi à la gendarmerie. A 12h30, toujours aucun véhicule de police n’a bougé. Vers 13h, Judascot part. Les copains me confirment qu’il est bien chez Markstein. Ils les voient partir, impuissants. Aucun de nous n’a d’idées d’où ils peuvent aller ; ils partent à l’opposé du centre-ville. On se rejoint tous ensembles à la gendarmerie. Au bout d’une dizaine de minute, Fougasse part, accompagné d’un autre gendarme.
Tibato et moi décidons de le suivre, et Bill nous suit de loin à pied. Laul va lui faire développer ses photos. En suivant Fougasse, on arrive à Blanc-les-rousses. Mais une fois dans le village, plus de voiture en vue. A force de demander aux passants, on finit par retrouver la voiture de gendarmerie, garée dans une rue qui semble être une impasse. Tibato s’avance vers le fond de la rue tandis que je reste faire le guet.

Tibato me racontera ensuite ce qu’il s’est passé : en arrivant, il a vu le corps du gendarme qui accompagnait Fougasse. Il a cherché secours auprès des voisins pour leur demander de joindre la gendarmerie et prévenir de la mort d’un gendarme. En continuant de s’enfoncer dans la rue, il a trouvé Fougasse, blessé. Alors qu’il s’approchait, une Porsche noire 911 Carrera lui est passée devant à toute vitesse.

De mon côté, je vois également la Porsche noire sortir de la rue, et je parviens à y reconnaitre Markstein et Judascot. Inquiète pour Tibato, je le rejoins dans l’impasse : il a ramené Fougasse au niveau de sa voiture, afin qu’il puisse contacter d’autres gendarmes. Bill a fini par nous rejoindre : c’est qu’il court vite en fait !
On repart tous les trois vers là d’où semble être sortie la Porsche. On trouve une rangée de garages, et à côté, la voiture de gendarmerie de Judascot. On aperçoit dans la neige les traces de pneu indiquant de quel garage est sortie la Porsche. On l’ouvre, mais il n’y a rien à l’intérieur.

On retourne ensuite au niveau de Fougasse. D’autres gendarmes sont arrivés, mais ils ne semblent pas vouloir nous écouter. Bill a soudain une illumination : Judascot et Markstein ont dû se rendre au niveau des coquillards : c’est sûrement le meilleur moyen pour Markstein de prendre la fuite. On parvient à convaincre le sergent Fougasse d’envoyer des hommes là-bas. En revanche, pas moyen de les convaincre de nous emmener avec eux. Ils sont vraiment chiants ces adultes !

Bill finit par appeler son voisin Inosuke et le convainc de nous emmener là-bas. Il récupère tout le monde sur la route et nous voilà partis. Alors que le 4x4 d’Inosuke peine à avancer dans la montée enneigée qui mène à la Mer de pierre, on aperçoit la Porsche noire sur le côté, encastrée dans un arbre.

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La porte côté passager est ouverte. On s’approche un peu, discrètement : on sait que Judascot est armé. Markstein a disparu, mais il y a des traces de sang à sa place. Judascot semble inconscient, la tête sur le volant et les bras ballants. Son pistolet est toujours à sa ceinture, et nous sommes tous d’accord pour dire qu’on ne va pas prendre le risque de le laisser armé s’il est encore en vie. Laul s’avance, et tandis que nous lui tenons les bras au cas où, il saisit son arme et la jette loin, dans la neige. Il prend ensuite son pouls : il est vivant. Nous retournons dans la voiture d’Inosuke en lui assurant que le gendarme est mort : jamais il ne laisserai une personne blessée seule sinon.

Une fois arrivés là où le 4x4 d’Inosuke ne peut plus avancer, nous descendons de voiture. Inosuke fait lui demi-tour, et nous le persuadons de vérifier malgré tout si le gendarme est bien mort : on est pas médecins après tout ! Nous nous dirigeons ensuite vers les coquillards, sur nos gardes. On fouille les alentours : aucune trace de Markstein. Pendant que Laul barricade l’accès au coquillard qui emmène en Suède du mieux qu’il le peut, Tibato accède au boitier du coquillard américain. On hésite d’abord à le débrancher : si Markstein est déjà passé, c’est la seule chance pour les gendarmes de pouvoir le rattraper. Mais finalement, on se dit qu’on a du réussir à le rattraper, d’autant plus qu’il doit être blessé. Avec la clé volée à la camionnette du Loop, Tibato débranche donc le coquillard.

Ensuite, on va tous se cacher dans la cabane juste à côté, et Laul, Tibato et moi nous armons du mieux que nous le pouvons avec des bâtons. Au  bout d’un moment, nous voyons Markstein apparaître. Nous sommes soulagés de savoir qu’il était bien derrière nous. Il risque d’avoir une sacrée surprise en voulant traverser le coquillard. Nous entendons ensuite un bourdonnement au-dessus de nous : il semblerait que les gendarmes arrivent enfin : ils auront pris leur temps ! Markstein commence à rentrer avec difficulté dans le coquillard. Une fois qu’il est à l’intérieur, Laul, Tibato et moi sortons rapidement de la cabane et nous plaçons à l’entrée, le menaçant de nos bâtons s’il tente de sortir. L’appareil de la gendarmerie commence à atterrir, et Markstein essaye de s’avancer pour sortir. Tibato donne un coup de bâton pour le repousser à l’intérieur : cette brute manque de le blesser encore plus ! Enfin les gendarmes arrivent. On va pouvoir leur passer le relais.

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Naida

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeJeu 21 Juil - 16:54

Après l’arrestation de Markstein par les gendarmes, ces derniers nous ramènent chez nous. Bill aurait bien voulu retourner au niveau de la Porsche pour se récupérer un trophée, dommage ! On est tous convoqués pour le lendemain à la gendarmerie.

31 décembre

Bill est convoqué le premier à 9h, ensuite Laul, puis moi et enfin Tibato, un par demi-heure. On se retrouve au repaire à 8h pour décider d’une version commune : on avait vu des traces de Markstein à la Mer de Pierre par hasard et c’est le sergent Fougasse qui nous as demandé de l’aide pour enquêter. On ne parle surtout pas des coquillards qui permettent de voyager près des autres Loop, ni du passage de Markstein aux États-Unis. En discutant, on se rend tous compte qu’on a mal dormi, et qu’une voix féminine a murmuré à nos oreilles : « Vous êtes en danger, faites profil bas pendant quelques temps sinon… » C’est assez étrange, et Bill semble vouloir ne plus rien faire qui pourrait nous faire remarquer, est- ce de la prudence ou de la peur ?
Une fois que Bill est revenu de son entretien avec les gendarmes, il vient nous rejoindre au repaire. Laul n’y est plus, déjà parti à la gendarmerie. Bill nous raconte rapidement l’entretien : les gendarmes ne posent aucune question dérangeante, on a pas de soucis à se faire.

A 10h, c’est ensuite à mon tour d’aller à ma convocation. L’ambiance est plutôt étrange dans la gendarmerie : c’est vrai qu’ils viennent d’apprendre que leur chef Judascot était un traitre… Et la gendarmerie d’Annecy a repris l’affaire, ça doit pas leur faire plaisir. Je suis interrogée par l’adjugeant-chef Bercolly, qui vient d’Annecy, et par le sergent Levi, qui elle travaille à Auroreville. Ils ne font que me poser des questions simples : Est- ce que nous connaissions Markstein ? Pourquoi nous étions là ? Rien dont nous n’avions pas discuté au préalable avec les copains, aucun souci à répondre sans nous mettre en mauvaise posture.

Quand Laul est sorti de la gendarmerie, il a questionné ses parents sur Sarah Takova. Ils lui apprendront seulement qu’elle dirige un département de recherche au Loop. Quant à moi, sur le chemin pour retrouver les copains au repaire, j’achète le journal. Nous lisons l’article sur l’affaire Markstein : il est vaguement sous-entendu que le lieutenant était de mèche avec Markstein, mais il est mort en arrivant à l’hôpital. Markstein a lui été déplacé à la gendarmerie d’Annecy, ce sont d’ailleurs eux qui reprennent l’affaire.
Nous nous quittons ensuite pour fêter le nouvel an avec nos familles.


01 janvier (dimanche)

Nous nous sommes donnés rendez-vous au repaire à 14h, pour nous laisser le temps de nous reposer après cette nuit de la nouvelle année. J’espère d’ailleurs que ce sera une année qui nous fera vivre plein de belles aventures ! Sans morts ce serait mieux, je crois que Bill commence à être un peu atteint psychologiquement, après avoir fait disparaitre Tom Master avec la pierre noire et en apprenant la mort de Judascot, que nous avons laissé seul alors qu’il avait besoin de soins… Il est d’ailleurs passé chez Inosuke ce matin, pour le remercier de nous avoir accompagnés et lui donner un coup de main dans ses tâches.

Une fois au repaire, Tibato commence à bosser sur les déchiffrages des carnets de Tom Master. Laul va chez Darfel, notamment pour lui souhaiter la bonne année.
Darfel va alors lui raconter ce qu’il s’est passé la veille. Comme tous les samedis matin, il a été voir Myosotis, l’archéoptéryx. En rentrant, il s’est aperçu que quelqu’un avait pénétré dans son hangar, et avait tenté d’accéder à la maison, ce qu’il n’a pas réussi. Quelques documents stockés dans le hangar ont disparu mais rien de bien important. Laul le met ensuite au courant de la surveillance dont il est victime. Il cherche aussi à récupérer des informations sur Sarah Takova. Darfel lui apprendra qu’il la connaissait, c’était son assistante. Elle était ambitieuse mais douée, et savait s’arrêter avant de franchir des limites. Elle considérait comme un honneur de travailler au Loop. Depuis son renvoi du Loop, il n’a pas eu davantage de nouvelles d’elle.

Pendant ce temps, avec Bill on décide de retourner voir une maison qu’ils avaient déjà repérée, une maison avec le symbole du Loop.

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Ce bâtiment semble être une ancienne ferme. Dans la propriété, il y a également une sorte de manoir, qui semble d’un style ancien. Il est très bien entretenu, et dégage comme une ambiance gothique. La clôture et le portail de la propriété sont en bois, mais sans aucun trou dans la clôture il nous est impossible d’en voir davantage.  Nous nous approchons du portail afin de voir le nom sur la boîte aux lettres : Denis Rotsarov. Nous apercevons en même temps qu’il y a une caméra au niveau de portail, et elle semble en très bon état de marche…

On s’éloigne du portail, puis décidons de faire le tour de la propriété, en passant par la forêt qui l’entoure. Une fois arrivé plus ou moins à l’arrière de la propriété, nous apercevons un trou dans la palissade. Il nous permet de voir l’arrière du manoir, et surtout nous voyons un ponton qui part du manoir et rejoint un étang. L’endroit semble un peu sauvage. Devant la ferme, nous voyons deux camionnettes estampillées du logo du Loop. Des personnes sortent des caisses des camionnettes et les emmènent dans la ferme. Il se passe manifestement quelque chose ici…


02 janvier (lundi)

Laul va à la bibliothèque, il espère trouver des livres parlant de Sarah Takova. Ça devient une vraie obsession ! Évidemment il fait chou blanc. Il a cru qu’on était à la Bibliothèque Nationale de France ou quoi ? Comme il est à la bibliothèque, il en profite pour demander au bibliothécaire quand on pourra faire l’initiative à Donjons & Dragons. Ce serait possible le samedi, mais seulement s’il trouve un autre MJ pour nous faire jouer car lui ne le pourra pas, il aurait fallu lui demander plus tôt.

Je vais de mon côté voir Tony Colangelo pour lui demander quand rouvrira la salle d’arcade. Il espère pouvoir rouvrir début mai. Qu’est-ce que c’est loin ! Ça va être dur d’attendre d’ici là. Tout ça à cause de ce foutu androïde qui s’est mis à tout détruire ! En plus, Tony m’a dit qu’avant de détruire la salle d’arcade, il avait battu mon record à Pac-Man. C’est pas très fair-play de détruire la borne après de peur que j’explose à mon tour son record !

Bill s’est également rendu à la bibliothèque, il cherchait des infos sur les châteaux gothiques, en espérant trouver quelque chose à propos de l’étrange manoir qu’on a vu hier. Rien. Tibato a encore une fois passé la journée au repaire à avancer dans le déchiffrage des carnets.


03 janvier (mardi)

Bill et moi allons à la bibliothèque (encore ! on passe nos journées là-bas en ce moment), on essaye de trouver quelque chose d’intéressant sur Denis Rotsarov ou sur l’androïde qui a détruit la salle d’arcade. Mais comme à chaque fois ces derniers temps, on ne trouve rien. C’est vraiment nul les bouquins ! Je dis ça mais Laul et Tibato ont passé leur matinée à continuer le déchiffrage des carnets. Ils sont franchement cinglés ces deux-là, ils s’obsèdent pour un rien.

L’après-midi, on parvient à leur faire sortir la tête de leurs bouquins et on va tous ensemble voir Lena Tellin. Laul lui propose des gâteaux pour la nouvelle année et laisse ensuite libre cours à son autre obsession du moment, Sarah Takova, car il bombarde Lena de questions. Il cherche à savoir si Sarah pourrait avoir un lien avec son fils et notamment l’entrepôt, qui était très bien équipé. Mais Tom a tout de même fait une thèse et un doctorat, il devait assez travailler pour pouvoir se permettre ça.
Laul continue ses questions à Lena, et elle finira par dire que Pharmacoop l’avait contacté pour qu’elle travaille avec eux mais son mari a refusé. Il se racontait trop de choses sur l’éthique de l’entreprise à son goût. Les questions de Laul sur cette époque de la vie de Lena finissent par la mettre mal à l’aise, c’est vrai que ça a dû être plutôt difficile pour elle. On décide de partir en trainant Laul derrière nous, qui ne semble pas comprendre le principe de la bienséance.

On décide ensuite d’aller Massi, mais sur le chemin Bill remarque qu’on est suivis par un gros véhicule noir, aux vitres teintées.

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Il ralentit pour essayer d’en voir plus, tandis qu’avec Tibato et Laul nous rentrons chez Massi. On essaye de le convaincre de nous laisser descendre ses escaliers, afin d’atteindre la pièce où on peut parler à Ricky, mais il ne comprend pas l’utilité de notre démarche. Il nous propose un chocolat chaud avant de nous demander un service. La personne qui faisait ses courses avant ne peut plus s’en charger, il nous demande donc si nous pouvons le faire. On accepte, et Laul parvient à le convaincre de nous laisser descendre l’escalier au bout de 3 jours de courses. C’est là que Massi nous apprend que c’est Fougasse qui faisait les courses pour lui avant, mais qu’il est dans le coma suite à l’affaire Markstein. On est tous d’accord pour aller lui rendre visite plus tard.

En sortant, on voit Bill qui nous attend à l’arrêt de bus. Il nous explique qu’on est observés par une voiture, et se dit qu’on devrait essayer de s’approcher. Il incite Laul à s’approcher mine de rien, et celui-ci accepte. Ils sont franchement pas malins ces gars à provoquer des gens qui nous surveillent avec un véhicule digne du FBI ou du CIA.
Laul s’approche donc, et fait tomber son ballon lorsqu’il est proche de la voiture. Sauf là, deux personnes cagoulées sortent de la voiture et l’empoignent, le trainant de force dans la voiture. En gigotant et en se débattant, il parvient à s’enfuir, et tandis qu’il court pour nous rejoindre, il entend le moteur de la voiture démarrer. Il nous rejoint rapidement et nous préviens : comme nous sommes encore devant chez Massi, nous courons nous y réfugier, sauf Tibato qui part derrière la maison et s’enfonce dans la forêt. On explique rapidement à Massi ce qu’il se passe, et celui-ci prend son fusil et sort sur le palier, mais la voiture a disparu. On attend chez Massi une bonne demi-heure avant de repartir chez nous, Bill et moi en passant par la forêt. Laul appelle ses parents et leur explique ce qu’il s’est passé, mais ils ne le croient pas. C’est des adultes après tout. Il finit par les convaincre de retourner voir là où était la voiture, mais elle n’est plus là, ni son vélo d’ailleurs.


04 janvier (mercredi)

On se retrouve à 8h30 pour faire les courses pour Massi. Tibato achète un paquet de chewing-gum avec l’argent restant, et sur le chemin on feuillète le journal. Il y a du nouveau sur l’affaire Markstein. Berger, le collègue qui avait accompagnés Fougasse a été promu post-mortem, et Fougasse a lui aussi été promu. On apprend également que le coffre de la Porsche contenait deux valises d’argent liquide. De toute façon, vu à quel point la voiture était accidentée on n’aurait pas réussi à y accéder. Lisa Markstein a été condamné pour complicité. Les gendarmes ont retrouvé des documents dans les garages où se trouvait la Porsche. Les garages appartenaient d’ailleurs à la femme de Judascot. Le lieutenant Michel Connor a été nommé à la tête de la gendarmerie d’Auroreville.

Une fois les courses et le journal apportés à Massi, on part pour la bibliothèque afin de savoir si le bibliothécaire nous a trouvé un MJ. Il nous confirme que c’est bon. Plus qu’à attendre samedi pour commencer à jouer !
On retourne au repaire en faisant de nombreux détours, mais aucun de nous n’a revu la voiture noire qui nous surveillait. On prend désormais très au sérieux le message de la femme mystérieuse l’autre nuit. Il semblerait qu’elle ait voulu nous prévenir pour nous protéger. En tout cas Laul me semble assagi maintenant… Durant le reste de la journée on reste au repaire à progresser sur le déchiffrage des carnets.

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Naida

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeJeu 28 Juil - 17:34

5 janvier (jeudi)

Il neige à nouveau ce matin. On s’est donné rendez-vous avec les copains, et on fait les courses pour Massi. On reste tous très attentifs au cas où la voiture noire réapparaitrait, mais aucun de nous ne l’aperçoit. On arrive chez Massi vers 10h. Comme d’habitude, son chien robot, aboie en nous voyant. Il ne semble pas s’habituer à nous voir, et nous on ne s’habitue pas à entendre ses aboiements métalliques. Massi nous ouvre avant même que nous ayons pu toquer : lui en revanche sait à quelle heure nous arrivons désormais. Il nous offre un chocolat, mais le mien n’est pas suffisamment chaud pour me réchauffer de la froideur hivernale.

On reparle à Massi du pacte dont Laul l’avait convaincu : au bout de trois jours de courses, il devait nous laisser descendre au 8e sous-sol. Il ne comprend toujours pas l’utilité de la démarche, mais accepte de nous laisser y aller. Massi ne descend lui qu’une fois par mois pour faire un brin de ménage, il nous demande donc si on pourrait s’en occuper en même temps. On acquiesce, et il nous ramène un seau, une serpillère et un aspirateur. Les garçons semblent d’accord pour me refiler la corvée du ménage. Ils ont toujours pas capté que j’étais pas leur femme de ménage ? Après s’ils sont trop bêtes pour ça je peux pas trop leur en vouloir, mais bon c’est quand même embêtant à force.
A peine descendus, Laul fonce au distributeur, quel morphal ! Bill et moi commençons à faire un peu de ménage, moi à l’aspirateur et lui avec le plumeau. Heureusement qu’au moins lui m’aide ! Tibato pendant ce temps examine la porte qui scelle le passage vers le Loop. C’est une grande porte en acier, impossible à ouvrir avec d’un côté de grosses charnières en acier et de l’autre cinq soudures, mais l’une d’entre elles est cassée. Tibato essaye d’ouvrir la porte, mais il n’y arrive pas. Comme il a toujours son pied de biche sur lui, il se dit qu’il pourrait essayer en s’en aidant. Mais il n’est vraiment pas fort, donc il me demande de l’aide. Ils ont beau dire et critiquer, c’est moi la plus forte du groupe ! Mais même aidée du pied de biche, impossible d’ouvrir la porte.
On abandonne, et Laul va téléphoner à Ricky. On lui parle, on lui demande des nouvelles et je me présente. On lui reparle de la pierre noire, qu’il nous dit avoir récupérée avant-hier. Pourtant la dernière fois qu’on lui a téléphoné, on avait déjà parlé de la pierre noire et ça c’était passé bien avant « avant-hier »… Laul cherche à le convaincre d’aller chercher une pierre noire pour nous, mais Ricky refuse. Il ne veut plus désobéir à son père. Laul a beau insister, Ricky nous dira seulement qu’on a qu’à y aller nous, et qu’il existe d’autres entrées pour pénétrer au Loop.
Bill et moi terminons le ménage, tandis que Tibato et Laul remontent pour essayer de convaincre Massi de descendre. Mais c’est un échec. Tibato se dit que le seul moyen de convaincre Massi qu’on est en contact avec son fils, c’est de savoir une chose qu’eux seuls connaissent. Tibato lui demande donc de nous poser une question à laquelle seul lui et son fils connaissent la réponse. Massi ne lui répond pas, et nous appelle Bill et moi depuis le haut de l’escalier. On remonte, puis Massi nous remercie pour le ménage et les courses, et nous donne la liste pour demain ; il nous met dehors.

On retourne ensuite au repaire, et Tibato et Bill terminent de déchiffrer le code des carnets, tandis que Laul et moi allons faire de la luge pour profiter de toute cette neige.


06 janvier (vendredi)

Il fait toujours froid et le paysage est toujours aussi enneigé. Alors que Tibato voulait se rendre au repaire pour prendre les carnets, il aperçoit la voiture noire qui semble nous suivre. A cause de la neige, il préfère ne pas se rendre au repaire car il laisserait des traces. On se retrouve ensuite pour faire les courses pour Massi. On lui apporte et on repart sans qu’il ne nous dise rien de plus

On décide de se rendre vers l’hôpital pour aller rendre visite à Fougasse, qui est dans le coma. On fait attention en rendant visite à Fougasse de ne pas être dans l’angle de vue de la voiture noire, garée plus long dans la rue qui croise celle de l’hôpital. On va tous parler un à un à Fougasse. D’abord Bill, puis Tibato, Laul et enfin moi. On lui parle tous plus ou moins de la même chose : comment s’est résolu l’enquête avec Markstein, l’intervention de la gendarmerie d’Annecy, on lui parle aussi de sa promotion. Alors que je lui expliquais que nous nous occupions de faire les courses chez Massi à sa place, une infirmière rentre et me demande de partir, car nous lui parlons depuis trop longtemps.
En parlant avec les infirmières, Laul a réussi à savoir que Fougasse est tombé dans le coma la même nuit où nous avons eu le rêve nous mettant en garde. On se demande si ça peut avoir un lien ? En tout cas l’infirmière nous dit que Fougasse n’était pas mal en point, en tout cas pas au point de tomber dans le coma. On apprend aussi qu’une autre femme vient le voir régulièrement, elle a des cheveux bruns et doit être âgée d’environ 45 ans.

On sort ensuite de l’hôpital par derrière, afin de ne pas être aperçus par le voiture noire mystérieuse. De là, on se rend au repaire pour récupérer les carnets et cacher le reste de nos affaires : on ne prévoit pas de revenir ici avant un moment.


07 janvier (samedi)

On fait les courses pour Massi, comme d’habitude. Ensuite on se rend tous chez Tibato pour déchiffrer les carnets. On parvient à y comprendre que Tom Master cherchait à atteindre deux buts : mener à bien le projet de sa mère, et se venger du Loop. Lors de son stage au Loop, il a volé les documents traitants du projet de sa mère, contrôler les pensées des gens par l’écrit. A la base, Lena voulait l’utiliser pour que les gens aillent se faire vacciner, mais le Loop a refusé ce projet. Tom semble avoir réussi, étant donné qu’il a pu contrôler les esprits avec son livre.
Son deuxième but, se venger du Loop, il comptait l’accomplir en rendant le Loop responsable du rassemblement à la Montagne Noire, en prouvant que le Loop pouvait manipuler les gens. Il prévoyait d’écrire un article pour accuser le Loop et prévenir du danger qu’il représentait.

Pendant qu’on déchiffrait tout ça, et qu’on travaillait dur, Laul n’a fait aucun effort. Il n’était pas investi et ne comprenait rien. Il est pas franchement utile pour ce genre de tâche on dirait. Il était ailleurs, et la seule chose à laquelle il s’est intéressé c’est à des suites de lettres, marquées un peu partout dans le carnet mais qui semblent n’avoir aucun sens.

On mange en vitesse des pâtes au beurre avant de retourner rendre visite à Fougasse. Quand c’est le tour de Laul, il lui chante une chanson qu’il a composée, sur Fougasse, le meilleur gendarme. Là une infirmière intervient et nous demande de sortir, parce qu’on ferait « trop de bruit ». J’ai cru entendre Laul grommeler un truc comme quoi c’était pas du bruit, mais de la musique. J’espère qu’il va pas rester vexé longtemps !
On doit ensuite courir pour ne pas arriver en retard à la bibliothèque, où aura lieu notre initiation à D&D. Patrick, le bibliothécaire nous emmène dans une petite salle où nous attends Adrien Elijah, qui sera notre maitre. Il a environ 17 ans. On commence notre partie d’initiation. Tibato joue un nain, Bill un barbare, Laul un elfe et moi un magicien. On reste ensuite pour parler du club Jeu de rôle. On se dis que ça sera plus simple de jouer entre nous, et je parviens à persuader les autres que je serais la meilleur MJ. C’est que je leur suis indispensable finalement ! Je pense pouvoir gérer une partie en tant que maître après deux autres séances d’initiation, soit après le samedi 21. Quand on finit par repartir, il fait déjà nuit.


08 janvier (dimanche)

Bill se rend à l’hôpital pour enfin faire retirer son plâtre.
On se rend chez Massi après avoir fait les courses, et on reste un peu chez lui pour manger la galette. Tibato et Laul semblent un peu en froid, j’espère que ça va passer. En attendant c’est moi qui ait eu la fève ! Tibato reparle de Ricky et de la question qu’il voulait que Massi lui pose. Massi finit par lui répondre : « Quand ma femme est morte, quelle était la couleur de sa robe ? »
Puis il commence à pleurer et nous le laissons.

On s’était donné rendez-vous chez Laul. Bill, en nous rejoignant, voit une voiture noire qui ressemble beaucoup à celle qui semble nous surveiller. On s’est réunis dans la remise qui sert d’endroit où répéter à Laul. Bill a l’air de vouloir essayer la batterie ! On fait un bras de fer et c’est moi qui gagne, faut croire que je suis pas qu’une fille inutile finalement. Bon après Bill a quand été affaibli avec son plâtre qu’il a gardé longtemps. Laul va demander à ses parents des informations sur la ferme avec le logo du Loop. C’est un endroit où des études ont été faites durant les premières années du Loop, dirigées par les frères Rotsarov. C’est en fait un observatoire astronomique, mais il ne s’y passe rien de plus selon eux.

Vers 14h30, Laul parvient à convaincre ses parents de nous déposer au parking de la Mer de Pierre, pour qu’on aille faire du patin à glace sur le lac. Bon en fait on va voir à l’entrepôt 6 si Nono est là. On le cherche, et finalement Bill finit par le trouver, caché en boule dans un coin. Il essaye de le porter, mais il s’enfuit un peu plus loin avant de se remettre en boule. Laul finit par lui convaincre de nous parler, et sa petite tête apparait. On parvient à comprendre qu’il a été effrayé à la montagne noire, il y avait trop de gens pour lui. Quand on a croisé des gens il s’est roulé en boule, et il semble nous en vouloir un peu de l’avoir laissé là-bas.
On lui propose de réparer le gros robot qui se trouve dans l’entrepôt avec lui, et il semble d’accord. On examine ce qui ne vas pas, et en fait c’est l’alimentation qu’il faudrait réparer. Tibato examine et prend quelques photos avec l’appareil de Laul. D’après Nono, on devrait trouver de quoi réparer à l’entrepôt 4. J’ai demandé à Nono s’il connaissait un androïde qui détruisait des choses, en espérant qu’il pourrait m’en dire plus sur l’androïde qui a détruit la salle d’arcade. Je réussirai juste à comprendre que oui, il connait un androïde qui a détruit des choses, rien de plus.
Ensuite on rentre car il commence à être tard, et demain c’est la rentrée !

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Naida

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeMer 10 Aoû - 12:20

09/01 (lundi)

Il neige pour la rentrée. C’est triste de devoir de nouveau rester enfermé à l’école alors qu’il y a tant de choses à faire dehors… A la récré on croise Jazz : ses parents ne veulent plus le laisser sortir maintenant. Il nous annonce que depuis son retour de la montagne noire, son père a arrêté de boire, et il vient désormais le chercher à l’école ; il a eu peur de perdre Jazz. Mais sa mère n’est pas satisfaite par la situation et voudrait quitter Auroreville. On lui raconte nos dernières aventures.
Jazz récupère la correspondance avec Jason :

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10/01 (mardi)

Bill se questionne toujours sur le faux et le vrai Denis, donc Laul décide de demander à ses parents pourquoi ils s’appellent ainsi. Ils lui expliquent que ce n’est en fait qu’un surnom qui a été donné aux frères. Le frère Rotsarov qui dirige les expériences à la ferme s’appelle Vredni, mais les gens ont commencé à l’appeler Vrai Denis. Quand son frère Denis est arrivé, il a donc été surnommé Faux Denis.
Slip va rendre visite au propriétaire du magasin d’électronique pour parler un peu de ses soucis.


11/01 (mercredi)

En sortant des cours, Tibato passe chez Massi, en espérant pouvoir redescendre voir Ricky. Quand il arrive, il n’y a aucune lumière dans la maison et la porte n’est pas fermée à clé. Tibato rentre et descend parler à Ricky.
Il lui parle de l’école, de la rentrée et de la neige, avant d’aborder doucement le sujet de sa mère. Il lui demande quel âge il avait quand elle est morte, ce à quoi il répond qu’il avait 4 ans. Tibato lui demande si par hasard il se souviendrait comment elle était habillée lors de sa mort ; Ricky ne s’en souvient pas, mais il garde des souvenirs d’elle où elle était régulièrement habillée en blanc. Tibato le remercie puis repart, toujours sans avoir croisé Massi.


13/01 (vendredi)

La neige s’est calmée depuis jeudi. De toute façon, à l’école on a pas le droit de faire de batailles de boule de neiges, parce qu’on pourrait se faire mal. C’est vraiment nul !
Quand je rentre du collège, je croise une dépanneuse, avec à l’arrière une 404 blanche, qui semble en bon état. Les copains me l’ont souvent décrite, c’est la voiture d’Alain Mandeur, celui qui a disparu avec sa fille.

Durant la semaine on a aperçu une fois une voiture noire semblable à celles qui semblent nous surveiller.


14/01 (samedi)

Aujourd’hui on va retourner jouer à Donjons & Dragons ! On a tous des beaux dés tout neufs maintenant. Les miens c’est quand même les plus jolis. On retrouve Adrien, qui nous explique plus en détail le fonctionnement d’une partie de jeu de rôle de D&D. Il m’explique aussi comment masteriser. Après il nous passe quelques revues sur D&D, et pour moi des livrets de campagnes. J’ai vu Laul essayer de jeter un œil dessus, mais aucun d’eux n’en approchera !

Bill demande à Inosuke s’il pourrait nous emmener à l’entrepôt 4 demain.


15/01 (dimanche)

Inosuke peut nous emmener à l’entrepôt 4, c’est trop cool ! Bill lui a raconté qu’on devait aller récupérer des trucs là-bas pour quelqu’un. Par contre Bill lui a dit qu’en échange on l’aiderait à nettoyer les enclos des autruches… Ras-le-bol de faire le ménage !

On part à 9h, et une fois arrivés au bâtiment 4 on est très prudents. Il n’y a pas de lumière, ni de traces de pas dans la neige. En revanche quelqu’un est forcément venu depuis, car il y a un nouveau cadenas sur la porte. Le truc c’est qu’on peut pas briser un cadenas en face d’Inosuke, c’est pas crédible avec notre histoire… Laul part donc divertir Inosuke en lui parlant de musique. Il veut se renseigner sur du hard rock japonais, je crois. Il a vraiment des idées bizarres. Pendant ce temps je brise le cadenas. Dès que c’est une question de force les gars font appel à moi ! Bon par contre ça doit toucher leur fierté parce que dès qu’il est question de ménage ils essayent aussi de me refiler le truc…

On rentre donc dans le bâtiment 4. On vérifie prudemment qu’il n’y a personne, puis Tibato va couper le courant afin de pouvoir récupérer ce qu’il lui faut tranquillement. Bill cherche lui s’il y a des caméras. Mais sans lumière c’est pas évident ! Faut croire qu’il espérait trouver une petite lumière rouge qui clignote à côté de la caméra… Il semblerait en tout cas qu’il n’y en ait aucune.
Laul rentre ensuite, et Inosuke le suit. Pour éviter de tout faire capoter, il l’emmène plus loin et ils se font un café. Tibato réussit à piquer une gaine, puis avec Bill on le voit prendre une échelle pour accéder à un truc en haut du mur. On le laisse à son bricolage en espérant qu’il se cassera pas le cou.
Pendant ce temps on fouille un peu partout. Dans un placard, il va trouver une enveloppe Craft scotchée en dessous d’une étagère. Si c’est caché c’est que c’est intéressant, donc il la récupère et la mets dans son sac. Moi en fouillant je trouve un Rubik’s Cube, trop cool !

Tibato semble avoir récupéré tout ce qui l’intéressait, donc on demande à Inosuke de nous déposer au parking de la piste de ski pas trop loin du bâtiment 6. Il repart ensuite. Pour monter au bâtiment 6 tout ce que Tibato a récupéré ça va pas être évident, parce que c’est super lourd quand même… Laul se rappelle qu’il connait quelqu’un plus loin qui loue des luges, Pierre La Board. Il part donc en louer.

En attendant faut bien s’occuper, donc on fait une bataille de boule de neige. Tibato va au bâtiment 6 chercher Nono. Il lui demande s’il pourra nous aider à monter tout ça en haut, il nous dit que oui. J’ai bien envie de balancer des boules de neiges à Nono mais Tibato s’y oppose fermement. Il a pas l’air content.
Avec Bill on commence ensuite à faire un bonhomme de neige, puis on se dit que transformer Nono en bonhomme de neige ça serait encore mieux. On prépare donc une boule d’une vingtaine de centimètre de diamètre pour lui poser sur la tête. Tibato est horrifié et essaye de nous en empêcher, mais il est pas en sucre Nono ! Bill retient Tibato pendant que je pose la boule de neige sur Nono. Mais à ce moment, ses bras sortent et il prend la boule que je venais à peine de poser et me la lance en pleine figure. Bon après ça forcément il se prend des boules de neiges. Mais en fait il est beaucoup plus rapide que moi pour en fabriquer… Bill vient m’aider, mais Tibato préfère se ranger du côté de Nono et nous bombarde également. Finalement il est peut-être bien un peu autiste…

Laul revient un peu après, et on peut tout monter au bâtiment 6 avec l’aide de Nono. Ensuite on retourne à Auroreville avec les luges, c’est plus rapide ! Laul va demander à ses parents s’ils pourront ramener les luges, et leur demande aussi où il pourrait louer un robot porteur. Il leur raconte que c’est pour un projet pour l’école, en fait on en aurait juste besoin pour faire les réparations du grand robot au bâtiment 6.

Bill rentre chez lui, tandis que Tibato et moi décidons d’aller rendre visite à Massi. Il est chez lui, et nous paraît de bonne humeur. En même temps il n’a plus son plâtre depuis vendredi ! Tibato décide de lui avouer qu’il est rentré dans la maison mercredi. Puis il continue de parler, et raconte tout, sur Ricky avec qui on communique à partir du téléphone au sous-sol. Il lui parle des souvenirs de Ricky à propos de comment sa mère s’habillait. Massi ne répond rien, on même temps c’est pas facile d’y répondre.
On décide donc de descendre avec lui pour aller parler à Ricky. Tibato le convainc de le laisser appeler Ricky en premier. Il l’appelle donc et lui parle un peu de tout. Mais quand il raccroche, Massi n’a rien entendu. Il était peut-être trop loin du combiné ? Maintenant c’est donc Massi qui appelle, mais personne ne décroche, il ne se passe rien, il n’entend rien. Avec Tibato on est catastrophés : il nous croira pas s’il ne peut pas entendre Ricky ! Je rappelle donc Ricky, afin de lui demander s’il a entendu un appel à l’instant. Mais non il n’a rien entendu, juste Tibato qui l’a appelé juste avant. Je raccroche, et on demande à Massi s’il l’a entendu, mais non toujours rien.
On décide donc de le rappeler encore une fois, cette fois en faisant un jeu de questions réponses entre Massi et Ricky. Ricky nous dit que son dernier cadeau de Noël était une boite de feutres, ce que Massi confirme. On lui demande ce qu’il a dessiné avec, il nous répond que c’était quelque chose qu’il a vu dans un rêve. Tibato le questionne ensuite sur la raison qu’il l’a poussé à désobéir et à ramasser la pierre noire. Il nous raconte qu’il a vu de la lumière, et a cru revoir son rêve.
Même si certaines parties sont inconnues à Massi ou ne lui disent rien, il reconnait certaines choses qu’on lui transmet. Il commence donc à admettre que notre histoire est plausible. Il a même envie de nous croire, car cela voudrait dire que Ricky est encore en vie. Il nous dit qu’il va demander son avis à quelqu’un qui a déjà étudié l’affaire et pourrait le renseigner à ce sujet.
Alors qu’on remonte les escaliers, Tibato lui suggère également de demander à un autre enfant que nous ne connaissons pas d’essayer d’appeler Ricky, car il a émis l’hypothèse que seuls les enfants pourraient réussir à le joindre, ce qui lui fournirait une preuve de plus.

18/01 (mercredi)

Laul appelle pour réserver un robot porteur, mais il abandonne : construire un échafaudage pour atteindre les points en hauteur à réparer devrait suffire.

Avant que Tibato, Bill et moi nous rejoignons chez Inosuke pour l’aider à nettoyer en remerciement de nous avoir emmenés, Bill ouvre l’enveloppe Craft qu’il avait trouvé dans le bâtiment 4. Il y trouve 4 cahiers, avec deux écritures différentes. L’écriture la plus présente semble être celle de Thomas. Les carnets décrivent plus d’une année, avec des dates.

Pendant qu’on aide Inosuke, Laul reste chez lui à chercher l’inspiration pour des chansons.
Une fois qu’on a fini chez Inosuke, on décide d’aller au repaire avec Tibato pour voir si des personnes semblent être venues. En arrivant, on trouve deux séries de pas : l’une d’elle est constituée des traces d’une seule personne, un homme a priori le long de la voie ferrée, tandis que l’autre série, plus en hauteur de la voie, nous laisse voir environ 3 traces de pas différentes, un groupe.
On rentre ensuite dans le repaire, et on trouve posé à côté du téléphone un papier avec l’en-tête de la carrière sur lequel il est écrit :
« Je suis revenu. Passez me voir quand vous voulez.    M. »

Tous nos autres papiers ou documents ont eux disparus des endroits où on les avait cachés. Quand on ressort du repaire, on aperçoit une voiture noire qui vient dans notre direction. Aussitôt on s’enfuit dans la direction opposée, et on se dépêche de rentrer chez nous.

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeMer 17 Aoû - 15:49

21 /01 (samedi)

Ce matin je me suis réveillée après avoir fait un drôle de rêve : j’ai revu la 404 blanche sur la dépanneuse sauf que cette fois il y avait quelqu’un sur la banquette arrière, un enfant, qui tapait au carreau. Je n’ai pas reconnu qui c’était. Je me suis réveillée quand je me suis dit que ça pourrait être moi. Même si c’est moi qui ait fait ce rêve pas très réjouissant, c’est Bill qui a peur. Il est de plus en plus persuadé qu’il va nous arriver un truc et il flippe pour un rien… En plus Tibato a lui rêvé qu’il était aux commandes d’un robot et il s’amusait comme un fou ! Comme quoi Bill devrait pas autant flipper pour si peu.

Il ne neige plus désormais mais il fait toujours aussi froid. Avec les copains on a hâte d’être cette aprèm et de pouvoir jouer à Donjons et Dragons, la matinée à l’école passe super lentement !

On retrouve Adrien à la bibliothèque à 14h, et on continue d’apprendre les règles, et on feuillette des bouquins.
On se rend ensuite chez Bill pour examiner les carnets retrouvés dans l’entrepôt 4.

Tibato trouve des lignes de code, pour permettre de programmer des automates ou des robots. Les lignes de code semblent avoir été réécrites à partir de base de code du Loop. Bill et Laul, en reliant les informations contenues dans leur carnet, vont réussir à trouver que ces lignes de code sont celles qui ont permises de coder l’androïde qui a détruit la salle d’arcade.
Normalement, d’après le programme, le robot aurait dû gagner à chaque jeu, pour apparaitre dans la liste des Highscore, avec comme nom : « Piraté par le Loop ». Sauf qu’après avoir gagné, l’androïde a continué à jouer, jusqu’à ce que la borne d’arcade grille, puis il est passé à un autre jeu, jusqu’à ce que toutes les bornes soient cassées, allant même jusqu’à déclarer un incendie.
On se donne rendez-vous le lendemain au parc pour aller à la carrière retrouver Max.


22/01 (dimanche)

Après s’être rejoints au parc, on prend la direction de la carrière. Mais vers 10h, alors qu’on était presque arrivés, on aperçoit un peu plus haut, garée sur le bord du chemin, une voiture noire semblable à celle qui nous surveille. On ne peut pas passer sans se faire repérer. On décide d’attendre une heure afin de voir si la voiture bouge, mais il ne se passe rien. On décide donc de faire demi-tour et de nous rendre au bâtiment 6, dont on est plus très loin désormais.
On y arrive à midi, et après un rapide repas on commence à installer la nouvelle gaine. Il faudra encore que l’on fasse les branchements mais maintenant tout est en place. Il est 16h30 quand on repart.


23/01 (lundi)

Laul va demander au pion qui nous avait déjà renseigné sur Tom Master s’il saurait au courant d’embrouilles entre Tom Master et Tony Colangelo, mais il ne peut rien lui apprendre de plus. Il lui pose ensuite des questions sur la salle d’arcade et l’androïde qui a détruit les bornes. Il nous dit qu’il avait vraiment l’apparence d’un humain, d’un jeune de 20 ans environ. Il nous raconte aussi que lorsqu’il était en train de jouer, beaucoup de monde de la salle se regroupait pour le regarder jouer.

On décide ensuite d’envoyer une lettre à Max afin de lui faire comprendre qu’on a bien vu son message. Mais comme on ne veut pas que ceux qui semblent nous surveiller sachent que ça vient de nous, on décide d’écrire comme si on était une entreprise travaillant avec la carrière, en disant que nous avons bien reçu la commande mais qu’il nous est impossible de venir pour l’instant.


28/01 (samedi)

Après les cours, on se rend à la librairie pour parler à Cooper. Il a aussi joué à La sorcière de la montagne noire et a lui réussi à gagner. Il a joué d’une manière différente de nous mais on ne parvient cependant pas à savoir ce qu’il a fait exactement qui lui a permis de gagner.
Ensuite on va à la salle d’arcade pour essayer de parler à Tony et lui demander quels étaient ses liens avec Tom Master. Mais quand on arrive, des ouvriers sont là en train de réparer pour la réouverture le 1er mai, mais Tony n’est pas là.
Tibato part ensuite voir le propriétaire du magasin d’électronique pour essayer d’obtenir des infos sur le moyen de faire un émetteur récepteur, dont on pourrait éventuellement se servir pour pister la voiture noire qui nous surveille. Dès qu’il aura fini il nous rejoindra chez moi, où on commencera notre première partie de Donjon !
En venant chez moi, Tibato voit la dépanneuse avec la 404 blanche. La dépanneuse vient chez Alain Mandeur, et y ramène la 404 dans le garage, qui ne semble pas fermé à clé. Une fois la dépanneuse repartie, Tibato va voir dans le garage. Les clés de la voiture sont sur le contact.
Il nous rejoint ensuite pour commencer la partie de D&D. Faudra que je note tout ce qu'ils font, mais peut être pas dans ce journal, ils pourraient tomber dessus et voir des infos qu'il faut pas !


29/01 (dimanche)

On s’était donné rendez-vous au parc à 9h, pour retourner au bâtiment 6 et faire les branchements du gros robot. Alors que j’allais les rejoindre, j’aperçois la voiture noire, garée dans une rue proche l’hôpital et du parc, à une des sorties de la ville. On se dit qu’ils surveillent peut-être toutes les sorties de la ville, donc on va voir à un autre endroit mais il n’y a pas d’autre voiture noire. On retient la plaque d’immatriculation de celle-ci.
Comme la voiture noire qui semble nous surveiller est à Auroreville, on se dit qu’on devrait retenter notre chance chez Max. On arrive à 11h chez lui, et on n’a pas aperçu de voiture noire. Max nous dit qu’il était parti dans sa famille, pour prendre du recul sur ce qu’il s’est passé. Il avait fait une croix sur le fait de pouvoir revoir Ricky un jour, et la possibilité d’utiliser à nouveau ses pouvoirs, mais cela peut sembler possible désormais. Il n’avait plus utilisé ses pouvoirs depuis 20 ans. On le prévient qu’on est surveillés, et qu’une voiture était sur le chemin de la carrière dimanche dernier. Il parait inquiet de se voir impliqué là-dedans. On se dit que faire communiquer Max avec Ricky pourrait nous aider. Il faudra en parler à Massi.

On se rend ensuite au bâtiment 6. Pendant que Tibato commence les branchements, on parle avec Nono et on parvient à comprendre que depuis notre dernière visite, des personnes sont venus. Elles étaient cagoulées et ne sont pas entrées dans l’entrepôt, mais il va falloir qu’on soit plus prudents. Tibato et Bill continuent de faire les branchements, pendant qu’avec Laul on décide de nettoyer un peu le gros robot.
En rentrant le soir, Laul décide de questionner ses parents au sujet des pierres magiques. En vrai il voudrait en savoir plus sur la pierre noire, et savoir s’ils ont fait des études là-dessus. Mais pour expliquer sa question il dit qu’on voit la géologie en cours, et que le prof a parlé de certaines pierres qui seraient magiques. Ses parents semblent mécontents et mettent fin à la conversation après avoir demandé le nom du prof de SVT.


30/01 (lundi)

En arrivant à l’école, Laul nous dit qu’il a fait un rêve cette nuit. Il doit être invisible et arrêter de compter sur sa chance. Il nous dit que le mot « chance » a été prononcé bizarrement, comme avec un accent.
A 10h, il est convoqué chez le principal. Il nous racontera que le prof de SVT était là et qu’il s’est bien fait gronder, le prof a pas paru content qu’il parle comme ça de trucs qu’il a jamais dit… En même temps il raconte toujours n’importe quoi Laul, va falloir qu’ils s’habituent les adultes.

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeSam 27 Aoû - 19:35

30/01 (lundi)

Après les cours, Tibato et moi allons planquer devant la ferme et le manoir des Rotsarov, pour voir si la voiture noire qui nous surveille pourrait venir d’ici. Laul se met un peu plus haut, en terrasse d’un café afin de nous prévenir si jamais la voiture arrivait. Au bout d’une heure il n’a rien vu donc il repart.
De notre côté, il n’y a aucune lumière du côté du manoir. A la ferme, on voit un peu de lumière et parfois les antennes s’éclairent. Alors qu’on s’apprêtait à repartir, on voit un homme quitter la ferme et emprunter le chemin qui mène au manoir. C’est un homme grand, qui porte un long manteau noir. Il est éclairé seulement par la lumière de sa lampe torche, donc on ne voit pas grand-chose de plus. Il arrive au manoir, et on décide d’attendre un peu pour voir s’il se passe quelque chose d’autre.
Rien ne se passe, donc on rentre chez nous car il commence à être un peu tard. En repartant on croise un chat gris.


01/02 (mercredi)

Tibato retourne planquer au manoir aussitôt après la sortie des cours. Avec Bill et Laul, on a prévu de rentrer dans la propriété pour essayer de voir des trucs intéressants. On attend un peu que Tibato nous prévienne si l’homme de lundi sort de la ferme pour aller manger au manoir, mais rien ne bouge, sauf un chat qui traverse la route.

Vers 13h, on se rend sur le côté de la propriété et Bill bricole une planche de la palissade pour pouvoir la déplacer et rentrer. Alors qu’on était en train de s’avancer discrètement vers l’arrière du manoir à grand renfort de roulades avant, Tibato nous prévient qu’il a vu un homme dans un arbre à l’extérieur de la propriété en train de la surveiller avec des jumelles. On a pas envie de prendre de risques et qu’on nous voit roder là donc on préfère ressortir, par prudence, en roulades arrières cette fois.
Alors que Bill ouvre la palissade, il tombe nez à nez avec un chat blanc rayé de gris foncé. Il le fixe un instant puis opère un demi-tour vers le champ.
On essaye d’aller voir en dessous des arbres où se trouve l’homme qui surveillait la propriété. On y va en jouant en ballon pour paraitre normaux, et Laul envoie son ballon sous les arbres où est censé être l’homme et tente de le repérer. Tibato, qui le surveille toujours aux jumelles, nous dit qu’il essaye de se cacher, et ça doit marcher puisque qu’on ne le voit pas.
Alors qu’on fait le tour de la propriété pour rejoindre Tibato, on croise un autre chat, marron avec des tâches noires celui-ci. Une fois qu’on est avec Tibato, on continue de surveiller le manoir. On voit sortir un homme par le portail et venir chercher le courrier à la boîte aux lettres. Il porte un grand manteau noir en cuir, donc ça pourrait être le même homme que celui qu’on a aperçu lundi soir. Laul observe l’homme caché dans l’arbre, et si au début il croit reconnaitre l’espion de chez Darfel, il se rend ensuite compte que ce n’est pas le cas.

On décide ensuite de repartir, pour aller vers la maison d’Alain Mandeur. On croise trois gamins sur la route qui jouent au ballon. C’est eux qui nous avaient parlé de la maison hantée. On discute avec eux en leur demandant s’ils n’auraient pas vu une grosse voiture noire de type Lang Rover, mais non. Un d’eux nous dit quand même, l’air tout fier, qu’il a vu une fois passer une voiture noire mais ça ne nous apporte rien de plus. Le coin est en général assez calme. Ils nous disent aussi que le dimanche, des gens viennent au manoir.
Pendant ce temps Bill est parti à la maison avant nous, et il vérifie le garage. La batterie de la 404 fonctionne, le plein n’est pas fait. Il jette aussi un coup d’œil au kilométrage : 1664. En sortant, il croise un chat avec une tâche noire sur l’œil, comme un cache-œil de pirate. Il va également vérifier la boîte aux lettres mais elle est vide. On le rejoint ensuite et on rentre dans la maison : je vais enfin pouvoir découvrir cette fameuse maison hantée !

Tibato décide de repartir surveiller celui qui espionne la propriété des Rotsarov. Il croise encore le chat pirate. Je décide d’aller explorer le bureau tandis que les garçons montent dans la chambre où se trouvaient le coffre-fort. Dans le bureau, je vois un grand pan de tapisserie qui a été arraché du mur et posé sur le bureau. Il y a plein d’écritures dessus, notamment un plan, assez vague mais qui pourrait représenter les contours de la ferme des Rotsarov. Au centre, il est écrit en gros : ATTENTION AUX CHATS. La tapisserie semble avoir été arrachée récemment.
Comme ils ne trouvaient rien là-haut, les garçons me rejoignent. Ils ont l’air surpris de voir ça : ils s’attendaient pas à ce que je trouve un truc pareil on dirait. Alors que Laul commence à prendre des photos, je relève la tête. Et là, j’aperçois dans l’encadrure de la porte l’homme qui surveillait la ferme et le manoir tout à l’heure. Au même moment, Tibato nous prévient par talkie que l’homme a disparu… Un peu tard malheureusement, vu qu’il est devant nous…

L’homme nous demande ce que l’on fait chez lui. On est assez surpris, car Alain Mandeur est censé avoir disparu depuis 23 ans et personne ne l’a revu depuis. Laul lui demande alors « Et votre fille ? ». Là, l’homme lui met une énorme gifle, et Laul tombe par terre. Même si parfois j’ai bien envie de lui en mettre une aussi, là je vais pas faire la maligne.
Il nous confirme que c’est bien lui Alain Mandeur. Il nous demande ce qu’on fait là. On lui dit d’abord qu’on explorait juste ce qu’on dit être une maison hantée, puis il dit nous avoir vu pénétrer dans la propriété des Rotsarov. Bill décide de lui dire la vérité : on trouve les affaires du Loop étranges, donc on mène notre petite enquête personnelle sur certaines choses, comme la pierre noire qui a fait disparaitre Ricky. Là, Alain Mandeur sort une sorte de couteau et le pose sur le bureau juste devant Bill en lui demandant : « Vous êtes de la patrouille ? » Bill a l’air d’avoir plutôt peur et réponds que non. Alain Mandeur range son couteau sans rien rajouter. A ce moment, Tibato arrive, aussi discrètement qu’il le peut mais Alain Mandeur le voit et le ramène dans le bureau. Tibato est inquiet de voir Laul par terre, mais ce dernier commence enfin à se relever.
Alain Mandeur nous demande si c’est nous qui avons pris les dossiers. On lui dit que non parce qu’il a pas l’air content qu’ils aient disparus. Bill lui raconte que des gens nous suivent dans une grosse Land Rover noire et que c’est peut-être eux qui ont pris les dossiers en passant derrière nous. Quand on lui explique qu’on est suivis, il dit qu’on va plutôt passer dans la cuisine, parce qu’il n’a pas envie que des gens sachent qu’il est revenu. Puis il sort un couteau, pour pouvoir couper et nous servir du saucisson. Il est plutôt gentil en fait on dirait.
On décide de lui avouer qu’en fait c’est bien nous qui avons pris les dossiers qui se trouvaient dans le coffre-fort à l’étage, mais ceux qui nous suivent les ont récupérés à notre repaire. Alain Mandeur nous explique que les chats sont la lubie de Vredni, ce sont des faux chats, des chats-robots qui lui servent de caméra. Il a l’air de penser que Vredni est responsable de sa disparition, volontairement ou non.

Alain Mandeur nous parle ensuite d’un moyen de réparer notre erreur d’avoir piqué ses dossiers. Lui ne peux pas rentrer et arrêter les recherches des Rotsarov, donc il voudrait qu’on rentre en disant qu’on prépare un exposé sur l’histoire du plus vieux bâtiment de recherche du Loop. De cette façon on pourrait repérer les systèmes de sécurité pour lui. Il nous conseille de montrer de l’intérêt pour le projet, de dire que ça nous semble utile et important, ne pas le contredire. En gros, le brosser dans le sens du poil.
Il nous explique que lui, avant de disparaitre faisait des recherches sur la téléportation. Il a par exemple créé les sphères. Il semble d’ailleurs plutôt content qu’on ait désactivé les sphères. Les bassins qu’on a repéré à plusieurs endroits servent à téléporter, afin de permettre à l’accélérateur à particules via l’énergie créée.
Je lui parle du rêve que j’ai fait avec l’enfant la 404, mais ça ne lui parle pas du tout. Il est encore tôt, donc on décide d’aller tout de suite chez les Rotsarov pour notre « exposé ».

On arrive à la propriété. Celui qui nous ouvre et celui qu’on a aperçu hier et ce midi à la boite aux lettres. Tibato commence à monter vers le manoir, mais l’homme le rappelle. Il se présente : c’est Denis Rotsarov, et non pas son frère comme on s’y attendait. On pourra prendre des photos sauf à certains endroits, il nous préviendra quand on ne pourra pas.
Le projet qui est en cours ici est le programme « Ferme lunaire ». Le projet a été lancé il y a 28 ans, en même temps que le lancement du cyclotron. Le site a été choisi pour son emplacement par rapport au Loop et au village, et on avait une belle vue sur le ciel. Maintenant il y a plus de pollution lumineuse. La ferme et le manoir existaient avant, et le Loop leur a donné l’autorisation de s’installer ici et d’acheter le terrain. Les antennes que l’on voit sur le toit de la ferme permettent d’étudier des phénomènes astronomiques.

On rentre ensuite dans le bâtiment. A notre droite se trouve un local technique. La pièce centrale est très haute, au centre se trouve des consoles, leur technologie semble dater des années 60. Au centre des consoles se trouvent une structure métallique qui permet de soutenir les antennes. Les consoles sont éteintes, mais comme Laul voudrait prendre des photos il demande si c’est possible d’allumer des choses pour que des boutons clignotent sur les antennes. Denis s’approche, et on voit que les consoles sont séparées en 6 parties. Il va allumer quelque chose sur chaque.
Sur la console à l’opposé de l’entrée se trouve une armoire vitrée contenant des bandes magnétiques. Denis nous explique qu’une fois les données récupérées, elles sont analysées à l’étage du dessous.
On voit qu’au centre de chaque console se trouve un emplacement où il semble manquer quelque chose, une pièce de forme carré.
Avant qu’on ne continue la visite, Denis fait quelques réglages et touche à des boutons. Ca fait bouger une partie de la structure. Il nous explique que les recherches se déroulent seulement pendant la période de la nouvelle lune, qui a lieu dans 2 jours. On aimerait bien revenir à ce moment mais ça ne sera pas possible, c’est là que Denis a le plus de travail.
On va ensuite dans une pièce au fond. C’est un grand bureau, qui peut faire office de salle de réunion ou de salle d’étude. Il y a de nombreuses armoires contenant des dossiers. En face de la porte d’entrée du bureau se trouve un cadre. Il contient un dessin représentant de nombreuses formes géométriques. On reconnait le dessin que Ricky nous a raconté avoir fait, ce qu’il avait vu en rêve. On questionne discrètement Denis à ce sujet, il nous dit que c’est un souvenir ramené par son frère. Dans le coin intérieur de la pièce, on aperçoit un coffre-fort.

Puis on va dans la pièce à côté où se trouvent des escaliers qui descendent. On semble descendre 4 étages. Denis nous explique que le Loop se situe encore en-dessous de nous. On arrive dans une pièce sombre. Il faut un peu de temps à nos yeux pour s’habituer, puis on voit au plafond une projection d’un ciel étoilé. Au centre de la pièce se trouvent des fauteuils en arc de cercle qui peuvent s’incliner afin d’observer le ciel.
Denis nous explique l’utilité des recherches, même si on ne comprend pas tout. Le site n’est pas accessible durant la nouvelle lune, car quand la lune disparait, il met en marche les antennes, et peut utiliser la lune comme une lentille afin de voir bien au-delà. Avec ce processus, on ne sait jamais ce que l’on va voir ni à quelle distance cela se situe. Il est possible d’observer des galaxies, des planètes, des systèmes solaires, de voir une planète de suffisamment près et de voir ce qu’il y a dessus. Denis nous dit même qu’il a déjà réussi à voir de la vie ailleurs ! Pour l’instant il s’agit juste d’observation, mais le but derrière serait de réussir à prendre contact. Mais parfois, il nous dit qu’il voit des choses qu’il aurait préféré ne jamais voir (il perd un dé4 de santé mentale).

Tout ça nous fascine vraiment, et on parvient à le convaincre de nous laisser regarder un enregistrement d’une observation. Il part dans une pièce au fond, puis ressort avec quelque chose dans les mains et remonte au rez-de-chaussée. On s’installe dans les fauteuils, et le ciel disparait. Puis l’enregistrement se lance : on peut voir une planète et un double soleil. Sur la planète, on voit qu’il y a beaucoup d’eau, et il semblerait qu’il y ait des îles hors de l’eau, comme si elles flottaient au-dessus.
C’est magnifique, aucun de nous n’avait jamais vu de choses pareilles. Cette ferme lunaire nous passionne vraiment. Puis le petit film se termine et Denis nous rejoint. Il nous explique qu’à chaque nouvelle lune, il cherche à observer de nouvelles choses. Il ne sait pas situer cet ailleurs qu’il voit, ni son emplacement dans l’univers ni son éloignement.

Denis nous emmène ensuite dans une petite pièce au fond, fermée à clé par une porte épaisse. On arrive dans un sas puis dans un ascenseur. On descend à l’étage juste en dessous, le -5. Denis ouvre la porte, le temps que l’on puisse voir ce qu’il y a à l’intérieur : la pièce contient de nombreux rayonnages abritant les bobines des enregistrements des observations précédentes. Il semble y avoir environ 5000 bobines. On descend au -6, où se trouve une pièce similaire avec tout autant de bobines. L’étage en-dessous, le -7, est identique, mais les rayonnages sont moins remplis qu’aux étages précédents.
On descend encore d’un étage, au -8. Il semble que ce soit une pièce comme celles du dessus, sauf que celle-ci est vide, prête à accueillir les futures bobines. Mais Bill et moi voyons quelque chose de différent, nous apercevons des armoires rouges avec un panneau danger dessus. On n’a pas davantage le temps d’observer que déjà les portes se referment. On arrive ensuite au -9, le dernier étage. Il s’agit d’une pièce avec une porte comme celle du huitième sous-sol chez Massi. C’est aussi une entrée du Loop : nous sommes descendus assez bas pour être à son niveau. La porte mène à l’accélérateur de particules, elle peut servir de sortie de secours s’il y a un problème.

On remonte ensuite. De toute la visite, on n’a aperçu aucun chat et aucune caméra. Dans le bureau peut-être qu’il y avait un écran qui permettait de visualiser les images enregistrées par les chats. Denis nous explique que son frère ne fait plus partie du projet désormais. D’ailleurs, l’intérêt du Loop pour le projet de la ferme lunaire a baissé, en même temps que le budget qu’il accordait à Denis.
La visite se termine, et on remercie Denis. Je crois qu’on a tous sincèrement apprécié cette visite, et on en ressort émerveillés. Sur le chemin du retour, Bill me confie même qu’il serait tenté de travailler pour un projet pareil plus tard…

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Naida

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeJeu 8 Sep - 17:01

Samedi 04 février

Après l’école, on va chez Alain Mandeur pour lui faire le compte rendu de la visite. On rapporte une baguette pour manger avec le saucisson. Et puis coup de chance il y avait du comté aussi ! On lui raconte tout ce que l’on a appris. Il ne sait pas nous dire depuis quand Vredni ne travaille plus là-bas. En même temps ça fait 23 ans qu’il ne vivait plus dans notre monde, il y a peu de chances qu’il puisse nous informer là-dessus.
Il nous explique ensuite plus précisément comment s’est passé sa disparition. Il était dans son bureau, sa fille sur les genoux. Et tout d’un coup il s’est retrouvé dans un autre monde. Il avait 5 pierres noires dans sa poche, donc on se dit que ça pourrait avoir un lien. En tout cas ce sont ces pierres qui lui ont permis de revenir dans notre monde. Là-bas il a rencontré des gens, des « Patrouilleurs » qui ont réussi à manipuler les pierres noires afin de le faire rentrer. Il nous explique avoir trouvé les pierres dans un site archéologique, la Mer de Pierre, il y a 29 ans. Les pierres paraissaient être des osselets dans le même matériau que de la pierre.
Alain Mandeur nous dit qu’alors que nous faisions la visite, et qu’on observait l’enregistrement, il en a profité pour s’introduire dans le bureau pour récupérer des dossiers, mais les plus importants devaient se trouver dans le coffre. Il nous réexplique vouloir arrêter les recherches. Il fera ça le 2 mars, lors de la prochaine nouvelle lune. Il faut qu’on réfléchisse d’ici là si on souhaite l’aider ou non. Denis nous a paru vraiment sympa et on a bien aimé son projet donc c’est dur de décider… Comme on ne peut plus aller à la gare, on demande à Alain Mandeur si on pourrait venir chez lui pour remplacer le repaire. Il nous dit que oui, on pourra venir se réunir dans une chambre à l’étage.

On se rend ensuite chez Massi, mais sur le chemin on croise la voiture noire qui nous surveille à l’arrêt. On fait donc demi-tour et on se rend chez Massi en faisant un détour. On en profite pour acheter des beignets. On arrive chez Massi. Il nous explique avoir réfléchi à notre proposition de demander à un autre enfant s’il pouvait parler avec Ricky, mais il n’a pas envie d’impliquer un autre enfant. D’après les connaissances du Loop auprès desquelles il s’est renseigné, on ne lui a rien caché et il sait déjà tout à propos de l’affaire. On lui dit qu’on a été voir Max et on lui demande s’il serait d’accord pour que Max vienne essayer de parler à Ricky. Il faudra qu’il y réfléchisse. On lui demande s’il sait quelque chose à propos de Vredni qui n’est plus là, et il nous apprend qu’il a dû disparaitre il y a une vingtaine d’années. Ricky a lui disparu le 18/10/1952.
On descend pour appeler Ricky. On lui demande où est le dessin qu’il a fait, celui que nous avons vu dans le bureau de la ferme lunaire. Ricky nous affirme qu’il est toujours dans sa chambre. Il ne connait aucun Vredni. On lui propose de reparler à Max : il est tout content, il nous dit que ça fait 2 jours qu’il ne l’a pas vu. Il semble vraiment bloqué dans la même journée deux jours après sa disparition… On lui demande s’il pourrait écrire une date au dos de son dessin. On se dit que peut-être que la date va apparaitre au dos du dessin dans le bureau.

On repasse chez Alain Mandeur afin de récupérer les photos du dessin qu’on avait faites, et on informe Alain Mandeur que Vredni a disparu depuis environ 20 ans.

On retourne donc voir Denis, et on va rapidement voir dans le bureau. On demande si on peut examiner le dessin, et on peut donc le sortir de son cadre, mais il n’y a aucune écriture au dos. On questionne Denis sur la disparition de son frère. Laul dit qu’on sait qu’il a disparu il y a une vingtaine d’année. Il est trop bête de dire ça ! C’est pas très logique qu’on soit au courant… D’ailleurs Denis nous demande où on a eu cette information, et Laul sort l’excuse la plus bidon qui soit : on l’aurait appris dans les journaux… Il est définitivement pas très fin. Heureusement Denis ne semble pas chercher plus loin, et il nous donne la date exacte de la disparition de son frère : le 25 mars 1960. Denis est convaincu que Vredni est en vie : comme c’est son jumeau il pense ressentir si jamais il lui arrivait quelque chose.
On lui demande s’il serait possible qu’on puisse voir les derniers enregistrements que Vredni a fait avant de disparaitre. Il nous répond que oui, mais il faudrait qu’on revienne plus tard, il a trop de travail en ce moment. On prévoit donc de revenir dans 2 semaines le samedi.

Après ça on retourne chez Alain Mandeur afin de l’informer de la date précise de la disparition de Vredni. Quand on lui dit qu’il a disparu le 25 mars 1960, on le voit lever la tête vers le calendrier accroché au mur de la cuisine : il s’est arrêté au 25 mars 1960… Vredni et Alain ont disparu le même jour.


Dimanche 5 février

Tibato avait pu récupérer le livre du Loop jeudi au magasin d’électronique : il a le droit de le garder 2 semaines. Il l’examine et parviens à comprendre comment réparer la batterie du bâtiment 6, et connait désormais les bases du code pour coder un robot.


Samedi 11 février

On va jouer à Donjon et Dragons, chez Alain Mandeur vu qu’on en a fait notre nouveau repaire. Il nous apprend aussi que la voiture noire dont on lui a parlé qui nous surveille vient de Pharmacorp.


Mercredi 15 février

On a reçu la lettre de Jason en début de semaine.

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On lui répond qu’effectivement il faudrait éviter le désert, et on lui demande s’il a lu Dune de Franck Herbert.

En sortant des cours, Tibato va à l’hôpital afin de rendre visite à Fougasse. Il apprend là-bas qu’il est sorti. Tibato l’appelle, mais Fougasse ne semble pas se souvenir de lui, et même quand il lui redit ce qu’il s’est passé, il ne se rappelle rien.


Samedi 18 février

On se rend chez Massi. Il est d’accord pour que Max vienne, on prévoit ça pour samedi prochain.
On va ensuite chez Alain : il n’est pas là mais on trouve un journal du 26 mars 1960 sur la table. Il a dû aller le chercher à la bibliothèque. On y apprend qu’il y a eu beaucoup d’orages en France durant la nuit du 25 au 26. On trouve un article sur Auroreville : des gens auraient vu une lumière intense venir d’un quartier peu habité de la ville : ça pourrait correspondre au quartier où nous sommes actuellement, où se trouve la ferme lunaire. On trouve aussi des infos sur la disparition d’un père et de sa fille dans la nuit, accompagnées de leur photo. L’article a été écrit par une certaine Nicole Doisneau. En revanche, on ne trouve rien à propos de la disparition de Vredni.

Tibato en profite aussi pour examiner le dossier que Alain a pris à la ferme lunaire.
Il y a un plan détaillé de boîtes qui renferment des dés. Ça semble correspondre à l’emplacement vide qui se trouvait sur les consoles à la ferme lunaire. Les dés sont taillés dans de la pierre noire. On trouve des schémas montrant les dés en lévitation, frappés par un laser. On comprend que la puissance du laser fait varier le nombre apparaissant sur la face du dé. Ce sont des dés étranges : il y a un dé à 3 faces, un à 5, à 7, à 16, à 24, et un à 30. Cela correspond aux dés qui se trouvaient sur le dessin de Ricky. N’importe quelle boîte peut aller sur n’importe quelle console. Sur le dessin de Ricky, on voyait une face en particulier et les dés étaient dans un certain ordre :
Dé 24 : face 9 / dé 16 : face 8 / dé 7 : face 5 / dé 5 : face 1 / dé 30 : face 24 / dé 3 : face 2

Après ça on se rend chez Denis. Il nous emmène au 1er niveau des archives. Sur le chemin Tibato lui lit l’exposé qu’on a fait. On remarque que sur les archives il y a des numéros qui correspondent à l’année de l’observation, et les numéros des dés ainsi que la face qui a été utilisée. On se rend compte qu’il n’y a pas d’observation portant le numéro 1. On arrive au jour de la disparition de Vredni. Il n’y a qu’une seule observation, les faces des dés étaient :
Dé 3 : face 3 / dé 24 : face 10 / dé 30 : face 30 / dé 16 : face 9 / dé 5 : face 1 / dé 7 : face 7

La première observation rangée ici, qui est donc l’observation numéro 2, date de fin 1955. Denis nous explique qu’au départ les numéros des dés ont été choisis au hasard, qu’après ils ont tenté de faire une corrélation, mais qu'au final ça n’a rien donné donc ils ont continué au hasard. Il ne refait jamais le même enchainement de nombres.
On lui demande pourquoi l’observation numéro 1 n’est pas là, il nous emmène au 8ème sous-sol, où se trouve les observations classées dangereuses. On se rend compte que les nombres de la première observation correspondent aux nombres sur le dessin de Ricky. On trouve ça étrange donc on en parle à Denis, qui nous dit juste que son frère a choisi les nombres sur le dessin pour faire la première observation.
Il nous explique d’ailleurs que les dés ont été fabriqués en 1953. Pendant deux ans, Vredni a examiné les dés car il ignorait leur usage. Un jour, alors qu’il était en vacances en Angleterre, en 1955, il a rencontré quelqu’un dans un manoir qui lui a montré une pierre noire, et en la touchant Vredni a eu une vision de quoi faire avec les dés, et il a ensuite construit l’antenne de la ferme lunaire. On visionne ensuite le dernier enregistrement de Vredni, deux galaxies qui entrent en collision.
Laul demande s’il est possible de visionner un enregistrement classé dangereux : il est vraiment pas net lui ! Évidemment Denis refuse : des gens sont morts en les visionnant. Denis nous dit que ça fait 2 ans qu’il travaille seul. Ca fait également 2 ans que les subventions du Loop se sont stoppées.

On retourne ensuite voir Alain Mandeur. On prend un moment pour réfléchir à tous les éléments que nous avons pour l’instant. On demande à Alain s’il connait une certaine Nicole Doisneau. On trouve quand même ça bizarre que l’article sur sa disparition soit paru aussi vite. Il nous apprend alors que c’est son ex-femme, la mère de sa fille.

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeLun 12 Sep - 21:18

Dimanche 19 février

On est chez Alain, on discute un peu et on décide rapidement de visiter le manoir des Rostarov.

Alain nous propose de faire diversion pour attirer les chats.

On approche par le passage qu'on a fait la dernière fois et on arrive devant une grande fenêtre. On y voit beaucoup de plantes.

Des rideaux cachent le reste des pièces.

On entre par la porte d'entrée, un chat noir nous accueille. Robot ou pas. Dur à dire pour le moment.

Journal de Jazz RDC
Journal de Jazz RDC2

L'entrée est richement décorée. Des photos liées à l'espace, sans doute tirées des différentes observations réalisées dans l'observatoire.

Des boiseries gothiques, des lampes champignons. Un peu kitsch tout ça ma foi.

1ère salle, une Bibliothèque. Un grand tableau d'un des deux frères. Dur de les reconnaitre. Je cherche des passages secrets, des coffres cachés. Je ferais chou blanc dans toutes les salles.

Le chat nous suit. On arrive à le sortir dans l'entrée.

Un couloir nous amène dans une grande serre. Des superbes plantes. Je trouve une photo de groupes avec les 2 Rostarov, plusieurs scientifiques et 1 Robot ressemblant fort à Nono.

On passe à la cuisine, la cheminée a encore des braises. Plein de photo même déco que l'entrée.

Ensuite on passe au salon, rien de spécial, un autre tableau d'un des frères.

Ensuite, un bureau des papiers administratifs. Tibato fait le guet par la fenêtre.

Bill découvre derrière un panneau en bois, les mêmes moniteurs que dans la ferme. On voit les caméras des chats. Aucune image du manoir, le chat noir devait être vrai!

Un escalier de service monte à l'étage. Une porte située sous l'escalier nous fait penser à un accès vers une cave remplie de trésor. Grosse déception c'est un placard à balais!!

On monte à l'étage en compagnie du chat. On fait bien attention à pas le coincer dans une salle.

Journal de Jazz Etage

3 chambres d'ami non utilisées occupent la partie à droite du manoir.

La suite de Denis occupe le fond de la maison. Rien de spécial.

Une dernière salle sera plus intéressante. On y découvre une photo de Sarah Takova hachée par de nombreux trous de fléchettes.

Une troisième peinture est présente. Tibato semble voir le regard bouger. Tibato est dubitatif. Je le vois bouger plus nettement. J'essaye d'ouvrir la discussion.

C'est Vredni. Il nous dit qu'il est sur la lune sans vraiment nous dire ce qu'il y fait.

A priori, il a été téléporté la bas par hasard. Il manipulait les dés en pierre noir avec une pince quand un éclair le fait sursauter et échapper le dé. Un mauvais réflexe pour rattraper la pierre et hop, envoyer sur la lune le Vredni. Il ne semble pas convaincu d'être en cause pour la disparition de Alain.

Il accepte éventuellement d'en parler avec.

Pour le dessin de Ricky, il nous dit qu'il l'a récupéré dans la chambre de Ricky lors des recherches pour le retrouver. Il trouvait ça inspirant pour ses recherches.

Un dernier étage sous les combles nous propose un énorme cabinet de curiosité. Des milliers d'objets plus ou moins intéressants. Je fais quelques photos et on se tire discrètement.

On retourne chez Alain. Il ira discuter avec Vredni.

Lundi 20

Tibato arrive à récupérer un bouquin du Loop qui lui permet d'acquérir des compétences qui ont l'air intéressantes (pour une fois il fera peut être autre chose que des lignes de téléphone)



Mercredi 22

On part chez Alain pour le midi, On le découvre au sol avec un peu de sang.
Il est encore vivant, je vais vite prévenir les secours.

Bill et Tibato découvrent les dossiers de Alain qu'on avait récupérés et perdus. Il a écrit sur la pochette prévenir Pierre Tellado ou SAR.

Bill part chez lui avec les dossiers.

Avec Tibato, on se souvient vaguement avoir vu Pierre Tellado sur les panneaux du site archéologique. On essaye de le trouver dans le bottin, il y est mais numéro plus attribué.
On appelle la mairie pour avoir des renseignements sur le site mais on apprend que Pierre est décédé depuis 10 ans.

On se demande si SAR pourrait être Sarah Takova, on essaye de la joindre au Loop mais ça ne marche pas. On laisse un message mais personne ne rappelle. Un doute me prend et je ne suis plus sur que c'est bien Sarah. C'est dommage on avait pas mal de solution pour la joindre.

On retourne parler à Vredni pour avoir un retour sur la discussion éventuelle avec Alain. Tibato fait le guet. Alain est bien venu et ils ont échangé sur les responsabilités de leur disparition. Il ne semble pas très ouvert à la discussion malgré des bons arguments.

Tibato est impatient et rentre dans la maison à l'arrache et se fait repérer. J'essaye de sortir pour prendre sa place mais Denis m'attrape par le col et nous engueule. On arrive à partir de façon plus ou moins digne.

On part à l'hopital pour avoir des infos d'Alain. La police nous accueille, j'ai un peu trop la pression et je m'emballe un peu. J'arrive plus ou moins a être crédible même si les flics ne semblent pas très content qu'on soit rentrés dans la maison hantée et surtout d'être en contact avec une personne blessée par une arme à feu.

On va encore être convoqué par la police, c'est les parents qui vont être contents.. Va falloir qu'on se mette d'accord avec Tibato pour être crédible.

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wardus




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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeLun 19 Sep - 20:55

J'appelle Tobido le soir pour se mettre d'accord sur notre histoire. En gros, on reste sur le même récit que j'ai dit aux gendarmes.

Maison abandonnée depuis plus de 20 ans, on jouait dedans à D&D car c'était cool! Un type est venu squatter un jour il était sympa. Je l'ai aperçu allongé par la fenêtre quand on arrivait.
On a alerté les secours.

Bill pendant ce temps trouve l'adresse d'un Sergeï Takova dans le bottin à Blanc les Rousses. Cool on ira samedi.

Samedi 25 février :

Jour des vacances ! On passe au bar de la mère de Tobido à midi. Elle nous prépare des supers sandwichs. Cool, on a plein de force pour les quelques kilomètres qui nous séparent de la maison de Sarah.

On arrive devant une énorme maison. On sonne au portail. Un enfant nous demande quel est le plus fort entre l'éléphant et l'hippopotame. Je réponds l'hippo, bonne réponse le portail s'ouvre!

On entre dans un immense jardin, super bien entretenu, une énorme dépendance sur le coté. Je pensais que mes parents étaient riches, mais la je prends une claque !!

On sonne à la porte d'entrée, 1 garçon de 6 ans et une fille de 4 nous accueillent avec plein de joie de vivre sans même nous connaitre. C'est étonnant mais pourquoi pas?

Ils sont gardés et éduqués par 3 précepteurs. Alfred Vincent, Alfred Peter et Alfred Quatain.

On apprendra plus tard qu'il s'agit de 3 androïdes super intelligent !

On s'aperçoit vite qu'on a à faire à deux enfants surdoués. Ils ont également la chance d'avoir chacun une chambre de dingue que 99.99% enfants rêveraient avoir. Des toboggans, des châteaux Disney, des millions de jouets. Plein de livres dont plusieurs en divers langues. Ils parlent 5-6 langues de façon courantes. Impressionnant les gamins

Sarah rentre du travail. On reconnait l’amérindienne aperçu sur la photo du manoir. Elle semble avoir une 30aine d'années même si nos renseignements la donnaient plus âgée.  On commence à parler de Alain. Elle nous fait rapidement signe de se diriger vers son bureau.
Un des Alfred nous apporte des boissons et des gâteaux.

On lui apprend rapidement qu'il est revenu et qu'il est hospitalisé après s'être fait attaquer et tirer dessus au pistolet.

Elle part passer un coup de fil. Bill essaye de la suivre en faisant semblant d'aller aux toilettes. Il se fait un peu repérer mais ça passe !

On continue à causer, on lui parle du manoir et des intentions de Alain. Elle nous montre des photos cachées dans un coffre qui datent de la nuit de la disparition.

On voit une première photo avec l'heure où l'on voit Vredni et la suivante 1s après sans Vredni. On aperçoit d'ailleurs la pierre noire sur la 2ème.

Les 3 photos suivantes nous montre la ferme, le manoir et la maison de Alain. On voit qu'il n'y avait aucune autre maison à l'époque.

La première nous montre un éclair géant frappant l'antenne de la ferme. La deuxième un énorme point blanc (sans doute trop de lumière) et la 3ème, une sorte de sphère d'énergie englobant les habitations.

On lui parle de Thomas, elle prend des notes mais on apprend rien d'important. Idem pour Markstein.

Elle nous apprendra juste que les rêves qu'on a fait il y a quelques semaines provenaient bien de se part via une de ces connaissances. L'amnésie de Fougasse vient également d'elle pour nous protéger.

Elle nous parle également de nos réparations du bâtiment 6. Ça n'a pas l'air de la déranger. Cool on va pouvoir continuer.

On repart tranquillement chez nous pour la super boom de fin de période. Je donne tout ! super concert !

Dimanche 26 février :

On va voir Max. Il est la, on décide rapidement d'aller chez Massy. Marcel nous accueil, il est un peu troublé de revoir Max. On descend rapidement et on salue Ricky. On lui dit que Max veut lui parler. Max commence à lui parler, il est totalement troublé, se met à genoux. Il est totalement secoué.

Je demande à Max de lui proposer de retourner à l'endroit où ils ont trouvés les pierres. On ne sait jamais il aura peut être plus de chance que moi.

Je propose également à Ricky de cacher son dessin des formes géométriques soit dehors dans une boite temporel ou dans un livre. Max essaye également mais il semble vraiment attaché à son dessin. Je pensais que cela pourrait éventuellement éviter la disparition de Alain et sa fille en empêchant Vredni de découvrir ce dessin et lancer ses expériences. C'est peut être ambitieux et dangereux. On ne sait pas trop si modifier le passé peut avoir des répercussions sur l'avenir.

On apprendra un peu plus tard que Ricky a dit à Max qu'il ne séparera jamais de ce dessin. Le rêve à son origine lui montrait que ce dessin lui sauverait un jour la vie.

Voila qui nous donne pas mal de piste à explorer.

On se quitte la dessus et on décide d'aller voir Alain. On l’aperçoit dans une ambulance qui part de l’hôpital. On le suit direction Blanc les rousses. On pense de suite qu'il part direction le domicile de Sarah.

Effectivement, Sarah l'a fait rapatrié pour le mettre en sureté et éviter d'avoir la gendarmerie fouiner. Il sera placé dans la dépendance et sera surveillé par les Alfred.

Lundi 27 et mardi 28 février :

Dongeon & Dragon. On discute de la suite des évènements.

Mercredi 29 février :

On part au bâtiment 6 pour continuer nos réparations. On estime à 5jours de bricolage.

Il va falloir qu'on réfléchisse rapidement de ce qu'on doit faire pour la ferme. Soit on laisse encore passer un mois pour la nouvelle lune pour tenter qqch ou on y va dés ce weekend.
Ça va être compliqué de savoir estimer les risques des différentes options

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeLun 3 Oct - 21:43

Samedi 3 mars :

On passe un coup de fil chez Sarah pour avoir des nouvelles de Alain et de lui demander son avis sur notre projet pour la soirée. Il a repris connaissance et nous demande si ces dossiers sont en suretés. Il nous dit de bien faire attention mais n'est pas contre le fait de tenter une expérience à la ferme.
On se met d'accord pour passer le voir lundi!

Bill va à la mairie chercher des infos sur Télado. Il apprend qu'il avait une femme et un fils. Au domicile de Marie Pierre, une aide soignante lui répond qu'elle est en fin de vie et que ça va être compliqué de lui parler. Il récupère cependant l'adresse et le numéro du fils. Jean Pierre. (je crois qu'ils aiment bien les "Pierre" dans la famille!!)

Il va faire un tour chez le fils. Il trouvera une jolie maison proche de Pharmacorp. Beaucoup de minéraux mais son regard est rapidement attiré vers une magnifique pierre blanche qui brille et dégage de la chaleur.

Jean Pierre lui raconte qu'il n'était pas vraiment copain avec Alain à cause de la relation qu'il avait avec son père. Sans doute un peu de jalousie.
Il lui parle également de la pierre blanche que son père pensait magique. Peut être une piste à creuser pour bloquer les pierres noires ??

Pendant ce temps, on arrive à convaincre Max de nous accompagner à la ferme ce soir pour tenter une expérience .

On se rejoint un peu avant 20h devant chez Alain pour mettre en place un plan, on va tenter une première approche amical au lieu d'utiliser la force directement.

Une fois à l'intérieur, on parle à Denis de notre théorie du dessin de Ricky et de la possibilité que ça le fasse revenir, c'est un peu simpliste mais des fois ça peut passer!


Il accepte avec peu d'entrain mais on est satisfait, l'argument que cela pourrait relancer le projet et les crédits du loop le font céder !

On lance l'expérience, avec Tibato on a la mauvaise idée de descendre regarder en direct.

On voit alors une sorte de monstre tentaculaire et sombre. Cella me brise totalement tandis que Tibato s'en sort un peu mieux !

Journal de Jazz Azathoth

C'est avec une grande déception que l'on quitte la ferme, il ne s'est absolument rien passé. En même temps, c'était un peu foireux quand même.

Max nous ramène chez Tibato. Sur le chemin, on voit plusieurs personnes se dirigeant vers chez Massy, on s'approche doucement.

On le voit au milieu du trottoir, entouré par une foule intriguée, en train de hurler à propos de son fils. Il l'a attendu dans sa maison. On arrive à le calmer et on le fait rentrer à l'intérieur. On descend rapidement les étages pour entendre une voie de garçon derrière la porte. Max utilise sa force magique pour l'ouvrir et on aperçoit alors un jeune garçon qui à l'air de ne pas comprendre ce qu'il fait la. C'est bien Ricky, il est totalement perdu et ne se rappelle plus de nous!

On décide alors de laisser Max et Marcel profiter du retour de Ricky.

Je ne dors pas beaucoup du weekend et j'en profite pour aller voir mon disquaire préféré pour essayer de me refaire un peu. Je suis encore bien secoué, je pense qu'il va me falloir au moins une semaine de repos pour être de nouveau à 100%

Dimanche 4 mars :

Mes copains vont voir Denis pour lui raconter que ça a marché. Ricky est de retour ! Il n'a pas l'air convaincu que cela l'aidera et a un de mal à voir un rapport entre l'expérience et le retour du garçon. Certes mais bon un peu d'espoir bordel!!

Lundi 5 mars :

En allant écouter de la musique, je passe devant Citizen Game et j'aperçois une nouvelle affiche à coté de celle annonçant l'ouverture le 1er mai.
Journal de Jazz Dragons

ça à l'air super cool ce nouveau jeu. Faudra que j'en parle aux copains !

Ils passent prendre des nouvelles de Ricky, ça à l'air d'aller. Tant mieux.

L'après-midi, on va chez Sarah comme prévu. elle nous accueille et on va voir Alain. Il se remet bien et devrait à 100% dans une quinzaine de jours. Il restera le temps qu'il faut chez Sarah, il n'est pas encore décidé de ce qu'il fera ensuite. Pas facile de réapparaitre après 30 ans de disparation sans avoir vieilli.

On parle de la récupération des dossiers chez Pharmacorp, que notre expérience a fait revenir Ricky, et je demande à Sarah de voir pour relancer les travaux à la ferme. Alain nous dit que la pierre blanche est à ses yeux inutiles.

Sarah s'absente environ 1 h et revient avec des dossiers. Elle nous demande des précisions sur les expériences de la ferme. On lui raconte les communications avec Ricky à travers le téléphone.
Elle nous raconte qu'il est la première personne à revenir d'une disparition due aux pierres noires et que c'est éventuellement une piste importante pour faire réapparaitre les nombreux scientifiques disparus. On est super fier !!!

Elle nous dit qu'elle va avoir un entretien avec Denis pour éventuellement relancer les travaux de la ferme. On préviendra Denis à la fin de la journée.


Mardi 6 mars :

On retourne à l'école. On est tout excité par le futur jeu à Citizen Game. On va en profiter de la réponse à Jazz pour lui demander si il a déjà entendu parler de ce jeu!

Journal de Jazz Lettre2

En attendant cette date, on va finir de réparer le robot du bâtiment 6.

Il faudrait également étudier les algorithmes de Tom pour comprendre ce qu'il s'est passé avec l'android. Il ne faudrait pas qu'il revienne à la réouverture pour refaire exploser toutes les bornes!!

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wardus




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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeLun 10 Oct - 21:34

Du Mardi 6 mars au 11 avril :

Retour de la routine de l'école, on ne fait pas grand chose. Bill lit les livres de Telado mais n'y trouve pas rien d'intéressant même si la pierre Blanche est souvent mentionnée.

On installe une caméra chez Darfell pour vérifier que personne ne revient chez lui le samedi matin mais il ne se passe plus rien. Par contre on apprend que Moreau commence à monter sur l'archéoptéryx. Tellement classe, on a envie d'essayer du coup mais il n'a pas l'air très motivé, ils sont vraiment chiants ces adultes !

Sarah nous passe des infos sur les fonctions de notre robot en cours de réparation. Ça va nous être utile (ou pas ! )

Elle nous dit également qu'ils ont repéré des incohérences dans la première expérience de la ferme. Ils sont dans les vérifications et vont sans doute réorganiser la ferme avec Alain Mandeur. C'est cool pour lui et pour Denis

On discute également de l'android et on récupère le nom d'une spécialise, Isabelle Kasimov

Le 19 mars, on reçoit la réponse de Jason :

Journal de Jazz Lettre3

Ça promet pour le jeu de la salle d'arcade!

Du samedi 14 avril au mardi 1er mai

On se dirige vers Citizen game à la fin de l'école pour s'inscrire au jeu. 1 groupe est en train de s'enregistrer, on patiente tranquillement. Tibato va voir Eric Colangelo qui est en train de bricoler des bornes d'arcade. Il aperçoit alors une borne de jeu inédite avec 4 couchettes au tour d'une sorte de tour avec des casques. Il lui raconte que c'est le nouveau jeu Tales from dragon's lair
A priori, on sera virtuellement à l'intérieur d'un jeu. C'est un peu flippant mais super excitant en même temps! On a hâte d'essayer.

Tibato voit qu'il a l'air d'être stressé, il lui propose son aide pour installer les machines.
Je laisse également un petit mot à Tony pour lui demander si je peux privatiser la salle pour l'anniv de Bill avant l'ouverture. Malheureusement, ce ne sera pas possible.

On arrive a redémarrer le robot, il se lève et part. A priori, il est encore sur sa programmation d'origine (faire de la surveillance des expériences du Loop) On demande à Nono de le stopper quand il rentrera.

Bill continue à lire les livres de Télado  et retourne chez le fils pour revoir la pierre blanche.

Tibato essaye d'aller aider Tony et Eric mais les deux frères sont supers tendus entre eux et il se fait jeter à chaque fois.

Il découvre Eric qui se promène avec un appareil photo au lieu de bosser. Peut être qu'il faudra découvrir ce qu'il fait.

Mardi 1er mai

On se dirige vers la salle où une foule importante est présente à l’intérieur et à l'extérieur. 4 gamins sont entrain de jouer au jeu. On est super motivé, Annie nous a rejoint pour l'occasion.

On s'installe dans les couchettes, on met les casques. On apprend qu'on peut enregistrer dans la partie, qu'on a le droit à 3 tentatives avant de devoir laisser la place.

On entre dans le jeu dans la peau d'un Magicien, un voleur, un barbare et un elf. Ça à l'air tellement cool.

On est "téléporter" dans une taverne où une serveur, un barman et un groupe d'aventuriers font leurs affaires.

Journal de Jazz A1

Je vais voir les aventuriers et récupère une moitié de parchemin en jouant aux cartes. Je découvre un homme en train de fumer dans un coin sombre. Il attend un mot de passe.

La serveuse sert à sauvegarder la progression et le barman à acheter de la nourriture pour se requinquer.

1 riche entre au même moment et nous demande si on a trouvé une bague. On va jeter un œil.

On sort de la taverne pour se diriger vers le sud. On arrive sur l'enceinte de la ville.

Journal de Jazz A4

Des ouvriers sont en train de réparer le mur. Le barbare se retrouve en train de les aider. Pas de bol. J'achète la bague à un ouvrier et Annie et Bill sont interpellés pour prévenir Shakk que son frère est prisonnier. Le garde nous réclame une lance.

On retourne à la taverne pour rendre la bague. On gagne 1 sorte de calendrier lunaire.

On part vers le nord, c'est des tunnels qui semblent un peu tourner en rond. On fouille sans résultat et nous quittons cette zone pour aller vers l'est.

On arrive sur la place du marché.

Journal de Jazz A2

Un voleur nous demande la clé de la chapelle. On achète une lance pour le gardien de l'enceinte à un armurier. On y trouve également un vendeur de vêtement et un endroit pour reprendre de la vie.

On fait rapidement un aller retour pour donner la lance au gardien. Il nous donne un laissé passer. On pense à sauvegarder notre aventure. On avance bien !

On continue vers l'est et nous arrivons vers le flanc d'une colline.

Journal de Jazz A5

1 rampe nous emmène dans  1 salle souterraine. Ça ressemble à une salle de protection de la ville. 1 effondrement a eu lieu, pas mal de blessés et de cadavres. J'aide un vieil homme à en trimballer un, il me dit que Shakk aura beaucoup de travail.

On récupère la clé de la chapelle dans la poche du vieux.

On trouve également une pierre avec une rune
Journal de Jazz Rune

Tibato trouve des mécanismes qui tournent, il essaye.

On se retrouve dans une salle avec un sol mou qui ressemble à de la lave. On part vite et on arrive dans les labyrinthes situés au nord de la taverne. On a un peu de mal à se repérer mais bon.

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wardus




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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeLun 17 Oct - 20:33

On tente de partir vers le sud pour revenir à la taverne mais on se retrouve de nouveau en F4 dans la lave. Cette fois, ça ne se passe pas bien et Tibato meurt dans d'affreuses souffrances. On perd notre première vie, il en reste plus que 2.

On retourne donc à notre dernière sauvegarde à la taverne. On part rapidement au temple en A5 pour refaire les mêmes actions sauf tourner les roues.
On retourne à la taverne en ignorant le voleur, on préfère explorer la carte.

On arrive sur un chemin le long d'un ravin à flanc de colline. J'évite un premier caillou, on décide de grimper par les escaliers vers le nord pour essayer de débusquer les lanceurs de cailloux.

On arrive de nouveau dans les tunnels en F7,

Journal de Jazz F7

demi tour, on revient dans la lave en F4, demi tour et retour dans les tunnels. On tente de sortir par le sud et retour en F4. Toujours la lave. On flippe, encore un demi tour et on débarque dans une immense grotte en F1

Journal de Jazz F1

Une grotte immense. la lave grignote petit à petit les passages. Une énorme statue en or.
Je fouille la statue et je croise brièvement son regard, je ressens quelque chose dans mon esprit. On trouve une orbe de 18cm verte

Annie veut faire sa maline et tente de sauter sur la plateforme à droite mais se loupe totalement et tombe dans la lave. Perte de la deuxième vie et retour au même endroit. A priori, la statue permet d'enregistrer. On reprends l'orbe rapidement.

1 ombre apparait au dessus de moi. 1 dragon énorme arrive. On arrive à sortir et on se retrouve en C3

Journal de Jazz C3

1 carrefour, 1 pont au-dessus d'une rivière. On va vers l'ouest et on se fait rapidement tirer dessus. J'arrive à éviter une flèche et on lance la contre-attaque. On dégomme rapidement les 2 gnomes. On récupère un miroir en argent et de l'argent.

On continue vers l'ouest pour arriver en C6. Gros brouillard

Journal de Jazz C6

Notre magicien préféré lance un de ses gros sorts, un bouclier ultime qui nous fait gagner 1 point d'armure permanent. Ça c'est cool

On entend des discussions au loin, on s'approche et on voit 3 personnes :
  • Une femme recolle des morceaux d'un pot en terre cuite. Elle nous demande de lui en trouver un nouveau

  • Un homme taille des planches à la machette. Il lui manque qqch pour faire un nouveau bouclier

  • Le dernier se lamente et pleurniche. Il a perdu une pierre rouge.



On trouve également un joli sac de pièce d'or derrière les pierres.

On suit toujours la direction vers l'ouest pour arriver en C9. Un ancienne forêt coupée à différentes hauteurs plutôt étranges.

Journal de Jazz C9

Des pièces sont posées sur les troncs, Tibato essaye d'en attraper une mais elles disparaissent toutes. Un corbeau essaye de nous attaquer mais on le tue rapidement. Bill nous soigne et nous fait gagner un point de vie permanente. Il est en forme !!

On change et allons vers le nord en C8.

Journal de Jazz C8

Des gobelins, protégés par une palissade commencent à nous attaquer. On les déboite facilement et récupérons des pièces d'or et une orbe de 17cm bleu.

Direction le nord et on débarque en C7

Journal de Jazz C7

Une jolie plage qui donne envie à Bill d'aller se baigner. Pendant ce temps futile, les vrais aventuriers se dirigent vers un cercle de pierre. On rencontre un homme qui cherche un plastron pour son ours. Il nous promet de nous téléporter où l'on veut si on lui en trouve un.

On part vers l'ouest et débarquons en E9

Journal de Jazz E9

1 port abandonné avec des iles artificielles. Des tas de galets empilés occupent Tibato pendant 1 certain temps, on trouve plusieurs pièces d'or. Mais on dérange des moustiques qui nous attaquent.

On perd pas mal et on prend la fuite vers l'ouest en E6

Journal de Jazz E6


1 village abandonné. Bill nous soigne. On trouve des pièces et un autre empilement de galet. Tibato en fait tomber mais il essaye de refaire le tas en respectant l'alternance des couleurs.

On trouve des traces d'une charrette plutôt ancienne et des traces de pas.

Des moustiques reviennent et attaquent de nouveau. On fuit vers le nord en perdant 2 PV.

Journal de Jazz B8

On débarque sur 1 montage enneigée. Beaucoup de sang et de traces de combat. On trouve un joli livre dans sac.

On descend de la montagne vers le nord en B5

Journal de Jazz B5

On arrive vers un temple en ruine. On trouve une sangle vers 1 stock de bois.
Au centre du temple se trouve des roues, 2 verticales et 1 horizontale. Elles sont bloquées et ont 4 trous sur chaque coté.

On voit également 1 homme et 1 bâton. Il est effrayé et a les doigts ensanglantés. Il a creusé un trou à la recherche d'un coquillage.

Je trouve une sorte de calendrier caché sous la mousse. Même décoration que la pierre calendrier que j'ai récupéré auparavant.

On fait tourner une roue de 90° d'un coté et de l'autre pour revenir au point de départ.

3 vautours squelettes nous attaquent, ils sont plutôt coriaces et des copains à eux viennent rapidement les remplacer.
On file vers l'est.

On grimpe une falaise et on arrive sur un plateau en B6

Journal de Jazz B6

Sol assez disparate avec aucune logique. De la glace entoure rapidement mes pieds. Pas le temps de trainer. On a des sortes de visions de personnes. Des mirages?

On part rapidement au sud.

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeLun 24 Oct - 21:20

On arrive en B9, un plateau enneigé

Journal de Jazz B9

Il y avait sans doute des anciennes habitations. 1 homme nous fait un signe, on va le voir pendant que Bill fait un bouclier.
C'est un lépreux on se retire rapidement.

On aperçoit des pierres gravées sous les pieds. Bill balance des boules de feu pour dégager les pierres. On découvre un calendrier (avec du muguet) et des roues qui peuvent tourner. On arrive en forçant à en tourner une

On part à l'est

Journal de Jazz C7

On continue à l'est

Journal de Jazz C8

On se fait attaquer par les gnomes on fait demi tour et on se dirige vers le nord après une longue réflexion.

On arrive en C4. On monte un long promontoire et on arrive dans une sorte de canyon

Journal de Jazz C4

On aperçoit pas mal de choses étranges comme des cordes tendues, des pierres en équilibre précaire. Ça sent bien l'embuscade dans le passage étroit. On ne s'y risque pas et décidons de partir tout de suite vers l'est

On arrive en C5. Une belle forêt.

Journal de Jazz C5

Un arbre domine toute la forêt. Il est magnifique et une 1 rampe monte en colimaçon.

On est pressé de sauvegarder notre progression alors on ne s’attarde pas et partons vers le nord.

On arrive en C2. L'orée de la forêt.

Journal de Jazz C2

On part tout de suite vers l'ouest en arrivons en C1 au pied d'une colline

Journal de Jazz C1


On passe un premier mur d'enceinte puis un deuxième. On arrive dans un ancien phare en ruine. On monte un escalier et trouvons une sphère incrusté dans un socle. On touche et on ressent une vague de chaleur. Cool, on a sauvegardé.

Je pars fouiller un bateau abandonné sur la plage. Je me fais attaquer par un narval. Je me barre rapidement. On y retourne à plusieurs et trouvons un coquillage.

On repart vers l'est en C2

Journal de Jazz C2

Je trouve un arbre géant avec une échelle. Je décide de monter, je fais teinter une clochette en chemin. J'arrive sur une plateforme, un homme m’accueille, c'est un alchimiste.
J'achète 4 potions, 1 de pouvoir pour notre magicien préféré, 1 potion de soin, 1 amélioration pour augmenter mon charisme et 1 protection.

Il recherche de la poudre de Narval... On retourne donc en C1 vers l'ouest

Journal de Jazz C1

On va tuer le narval. Je l'achève en attrapant sa corne sur son dernier assaut en faisant un 360 en la prenant d'une main et en faisant tourner ma dague autour de la corne.
C'était épique !!!!

On retourne à l'est en C2

Journal de Jazz C2

On gagne 1 potion d'intuition et 1 amélioration.

On retourne vers le sud en C5

Journal de Jazz C5

2 aventuriers montent dans l'arbre et 2 autres vont au temple.

Les 3 roues sont dans l'arbre et des squelettes attaquent au temple. On part vite vers l'ouest. en C6

Journal de Jazz C6

On va donner la sangle au guerrier qui cherche à refaire un bouclier. Il manque encore une pièce.

Direction l'ouest, on se retrouve en D4

Journal de Jazz D4

1 maison en ruine, des voleurs s'y cachent. On les tue. On trouve des pièces d'or, 1 médaille en argent, 1 canne à pêche emballée dans un paquetage. On bouge vers l'ouest vers B5

Journal de Jazz B5

Je donne le coquillage à la personne qui en cherchait. Il me demande ce qu'il peut faire. Je lui demande ce qu'on doit faire avec les calendriers. Il me dit qu'une date est plus importante que les autres

Direction le nord vers B2 pour trouver un champ de roches

Journal de Jazz B2

On rencontre un marchand qui se promène avec 1 âne. Il cherche un sablier. Bill trouve un sac mais pas de bol, un serpent y était planqué - 3 PV . Outch ça fait mal !

On trouve également 3 os de 90cm environ.

On part vers l'ouest en B1, des vestiges d'une ancienne ville.

Journal de Jazz B1

On trouve 1 pentacle dans une pièce circulaire. Je pénètre dans le pentacle, 1 halo verdâtre m'entoure. C'est enregistré!

On trouve des pièces d'or et une pièce en argent.

On avance vers l'ouest en A3 pour arriver au faubourg de la ville

Journal de Jazz A3

Un incendie a détruit une bonne partie de l'endroit. On tue rapidement les 4 voleurs qui voulaient nous détrousser. On trouve une pelle et un paysan caché dans un arbre. Il cherche des graines pour refaire son jardin.

A priori, quelqu'un a voulu faire passer l'incendie pour une attaque de dragon mais on est vraiment pas convaincu.

On décide de retourner au marché en A2, direction l'ouest.

Journal de Jazz A2

On donne la clé au voleur qui nous donne une lune en pendentif en argent.

On achète 1 potion d'armure et 1 de pouvoir.

On continue vers l'ouest pour sauvegarder à la taverne en A1

Journal de Jazz A1

On retourne ensuite au faubourg pour partir vers le sud en A6

Journal de Jazz A6

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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitimeMar 1 Nov - 22:16

On arrive dans un village inondé, on galère à avancer . On trouve un sac contenant une corde de 10m
Des traces de pas (petits pieds) 1 lapin mort tué par une flèche.

J'évite une flèche, on bute l'archer. On récupère également un pot en terre cuite

On part au sud en A9

Journal de Jazz A9

1 hameau . Au nord, on se fait attaquer par un homme au couteau, on esquive et réplique efficacement. Notre elfe préférée trouve une maison remplie de livre. Le propriétaire est aveugle, on échange la pierre runique contre 1 parchemin qui dit "La vie génère le temps"
Il y a également une famille au sud est.

On part vers l'ouest direction A8

Journal de Jazz A8

On arrive au cimetière, je vais directement vers une petite chapelle Je vois Shak en bas d'un escalier. Je lui indique que son frère est retenu prisonnier en ville. Il se précipite alors vers la sortie et laisse tomber une croix en argent.
1 squelette sort d'une tombe. Notre magicien s'en occupe rapidement mais crame un peu la barbe du barbare. Il fait la gueule et veut taper du squelette en boucle à un endroit marqué par une croix en chaux.

Je lui dit qu'il perd son temps mais il insiste. Finalement, il a bien fait, il trouve la 2ème partie de la carte.

On continue vers l'ouest et on arrive en A7. Une maison.

Journal de Jazz A7


1 forge à droite et 1 tas d'objet en argent. Je n'arrive pas à me servir dans le tas.
1 labo d'alchimie à droite et un planétarium à gauche. 1 flèche dit "C'est par la".

L'alchimiste nous propose de nous téléporter contre 1 objet en argent. Intéressant.

On part vers le sud en E1

Journal de Jazz E1

1 ponton traversant une étendue d'eau avec beaucoup de végétation. 1 ruine sortant d'une 50aine de cm d'eau. On trouve un 1 empilement de 26 galets.

1 borne nous indique "Ici recommence votre quête" On est dubitatif sur le résultat. Un reset complet ou juste un reset des roues.

On trouve également un panneau directionnel indiquant "marais"

Plein de moustique on sort vite en E2

Journal de Jazz E2

1 zone humide, des zones de terres artificielles, plein de panneaux indiquant marais dans plusieurs directions.
On trouve un empilement de 12 pierres.
On part à l'est en E3

Journal de Jazz E3

On descend dans une forêt inondée. Qqch dans l'eau. 1 empilement de 22 pierres

On continue vers le sud en E6

Journal de Jazz E6

On va compter le nombre de pierre de l'empilement. 18 pierres. Je bois la potion d'intuition.

"Que faire avec les empilements?" "On doit déjà savoir le nombre de pierre sur chaque empilements."

On se dirige vers le sud en F1.

Journal de Jazz F1

On enregistre et on enchaine au nord en E6 et l'ouest en E5

Journal de Jazz E5

1 homme fait la sieste, il nous demande combien de cailloux sont empilés. On va devoir faire des maths. C'est pas facile pour tout le monde

On trouve 4 PO et un ressort.

On part vers l'ouest et arrivons en E4

Journal de Jazz E4

1 empilement de 14 pierres. L'elfe a faim et commence à monter la canne à pêche. Il trouve une petite perle de 3 cm dans le manche.

On va au nord en E1 pour se faire téléporter en E7 contre une croix en argent

Journal de Jazz E7

1 marais, des roches ressemblant à des éponges semblent cracher des gaz violacés. On trouve rapidement 1 empilement de 16 pierres et un engrenage, on ne s’attarde pas.

Direction l'ouest en E8

Journal de Jazz E8

1 marais asséché. 1 rivière traverse. On trouve un empilement de 20 pierres. On continue en E9 vers l'ouest

Journal de Jazz E9

empilement de 24 pierres. Direction le sud en C7

Journal de Jazz C7

On continue vers le sud en C4.

Journal de Jazz C4

On essaye de voler mais un homme nous indique que la magie est interdite dans cette zone et doit nous permettre de montrer notre bravoure. On doit prouver notre vitesse, notre force et notre agilité.
On esquive en partant à l'ouest en C5 puis vers le sud en C2

Journal de Jazz C2

On achète des potions on pique la clochette et partons vers l'est en C1

Journal de Jazz C1

On enregistre.



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MessageSujet: Re: Journal de Jazz   Journal de Jazz Icon_minitime

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